Alors que la guerre en Ukraine fait rage, Candace Owens détient un enregistrement où Trump supplie de taire une enquête sur Brigitte Macron, sous peine de voir la paix compromise. Des centaines de milliers de vies sont en jeu...
Un méga-contrat d’armement, un film financé par des fonds indiens et des soupçons de corruption : l’enquête sur la vente de 36 avions Rafale à l’Inde en 2016 s’intensifie, plaçant l’ancien président François Hollande et sa compagne, Julie Gayet, sous une pression croissante.
Entre punaises de lit et complots, nos élites jouent les clowns dans une tour de Babel, laissant Poutine triompher sans effort ! Tour d'horizon vertigineux.
Dans cette vidéo, réalisée en images par images, l’artiste italien Blu – déjà auteur de l’excellent Muto l’année dernière – développe, avec la collaboration du peintre David Ellis, un univers surréaliste en exploitant, avec sa peinture, les moindres recoins de cette cour d’immeuble. Immense.
Slinkachu :
L’artiste Britannique Slinkachu se sert de la rue comme terrain de jeu ou plutôt de création. Avec son projet « Little people in the city », Slinkachu nous plonge au coeur d’une ville à la fois troublante et incroyable, dans un monde où cohabitent géants et lilliputiens.
Ils sont minuscules mais loin d’être insignifiants, ce sont les « Little People » de l’artiste de rue Slinkachu. Depuis 2006, ce jeune londonien façonne les habitants d’un micro-monde qu’il met en scène au ras du trottoir avec beaucoup d’humour et immortalise ensuite dans ses clichés.
Slinkachu n’est pas un photographe professionnel mais un amateur ingénieux. Il a déjà exposé cet art de rue tout à fait original à Londres, Manchester, Barcelone, Stanvanger ( en Norvège ) et Amsterdam. Sa dernière exposition « Whatever happened to the men of tomorrow », à la galerie Andipa de Londres, s’est achevé le 27 juin dernier. Le projet de « Little people in the city », quant à lui, a vu le jour en 2006. Le but premier de l’artiste est d’encourager les hommes – en particulier les citadins- à être plus attentifs au monde qui les entoure. A être moins pressés par le temps. Nous sommes instinctivement amenés à nous identifier à ce microcosme. Solitude et mélancolie. Vivre dans une grande ville avec le sentiment, plus ou moins fort, d’être perdu et écrasé par les foules. L’artiste joue la carte de l’humour pour mettre en avant ce malaise ambiant.
Focus sur le film réalisé à l’occasion du Playground Festival 2009 autour des arts et de la création numérique. Des photographies par Jasper Faber, une direction et post-production par le célèbre studio Onesize. Le tout sur un sound-design du Studio Takt.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
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