La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Retour sur l’œuvre de Max Dupain (1911-1992), souvent présenté comme un photographe moderniste australien. Mais comme souvent derrière les termes tout-faits se cache une réalité plus profonde. Celle d’un héraut des passionnés de sable et de mer. Des clichés que l’on pourrait croire sortis de la grande vague californienne post seconde guerre. Un culte du corps, nu, sportif. Des nus comme on n’en voit plus. Presque candides. Ni sexués, ni asexués. Juste là, parfaitement présents, insouciants. Une vie d’extérieure, des existences solaires. « D’autres après nous encore recevront sur cette terre le premier soleil, se battront, apprendront l’amour et la mort, consentiront à l’énigme et reviendront chez eux en inconnus. Le don de vie est adorable. » Les mots d’Albert Camus, dans le méconnu La Postérité du soleil, soufflent toute la profondeur et la langueur des clichés de Max Dupain.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.