Dans les locaux d’Europe 1, une situation troublante se dessine, mêlant danger potentiel pour des mineurs et protection inexplicable d’un homme au passé trouble et pervers.
À l’aube de ce 18 juin 2025, une nouvelle guerre silencieuse secoue les fondations du pouvoir mondial. L’Iran aurait orchestré un coup de maître cybernétique : le vol de 3 téraoctets de données ultra-sensibles dans les serveurs du Mossad.
Dans les couloirs feutrés des startups de Tel-Aviv, dans les laboratoires high-tech de Haïfa, et jusque dans les salles d’opération des hôpitaux de Jérusalem, un mot d’ordre silencieux mais implacable s’est répandu : partir.
Si l’écriture photographique de Martina Hoogland Ivanow est reconnue pour son traitement particulier des ombres et des lumières -le véritable protagoniste étant systématiquement dans l’ombre, élément structurant de ses compositions-, le temps y est comme suspendu. Ni documentaire, ni mise en scène photographique, son travail oscille entre les deux et utilise la couleur de manière très picturale, symbolisant pour son auteur des zones émotionnelles.
Née en 1973 à Stockholm, Martina Hoogland Ivanow parti à 18 ans pour étudier la photographie à Paris puis à New York.
Après un début de carrière flamboyant dans la publicité dès les années 90, elle s’est concentrée sur ses œuvres et ses expositions, a reçu de nombreux prix et est présente sur la scène artistique internationale. Elle vit et travaille à Stockholm.
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