Le 23 mai 2025, à 16h12, une onde de choc a traversé l’Europe. Donald Trump, président des États-Unis, a menacé d’imposer dès le 1er juin des droits de douane de 50 % sur les importations européennes, dénonçant des négociations commerciales avec l’Union européenne (UE) qu’il juge stériles.
Dans les années 1970 et 1980, une vague intellectuelle française, portée par des figures comme Bernard-Henri Lévy (BHL), André Glucksmann et Alain Finkielkraut, secoue l’Europe et traverse l’Atlantique.
En 2025, l’intelligence artificielle bouleverse la création publicitaire. D’ici 2030, cette révolution pourrait transformer les campagnes en expériences immersives et personnalisées, redéfinissant l’art de séduire. Plongée dans un futur où l’IA devient le moteur de la créativité publicitaire.
Jeff Koons a réussi à imposer à la ville de Paris une sculpture monumentale, sous la forme d’une main tenant un bouquet de tulipes en forme de ballon soi-disant pour honorer les victimes des attaques terroristes de 2015. Selon l’ambassadeur des États-Unis en France, c’était un cadeau que la ville pouvait difficilement refuser.
Contrairement à Jeff Koons, Mark Even a su au travers de sa sculpture répondre aux âmes disparues injustement au Bataclan. Mais qu’a fait Jeff Koons ? Que donne t-il à voir ? Quel est le message qu’il renvoie à part afficher vulgairement sa valeur boursière. N’est-il d’ailleurs rien de plus qu’une valeur artificielle tel un produit signé par Goldman Sachs ? En quoi rend-t-il hommage à des victimes d’un massacre atroce ? Son bouquet de tulipes est le contraire de la flamme éternelle de Mark Even. Une pose enfantine. Hypothétique. Qui n’évoque rien si ce n’est la fin de l’art contemporain sous sa forme actuelle.
C’est donc un coup d’état culturel de la part de Jeff Koons et de ses équipes que personne ne relève vraiment dans le monde de l’art. Partout est écrit que c’est un « cadeau » fait à Paris. Mais qui paye si c’est un cadeau ? A votre avis ? Renseignez-vous c’est très intéressant. La seule chose que l’on peut écrire c’est que Koons montre avec ce projet l’homme d’affaire sans scrupules qu’il est en réalité. Et non un artiste inspiré qui marquera son temps.
N’importe quel critique d’art vous dira en privé que cette sculpture est le comble du mauvais goût. Mais personne ne l’écrira pour ne pas froisser les « amis » de François Pinault. Parce qu’entre Koons et Pinault c’est le love. Telle est en 2017 la petite vie de l’art contemporain à Paris et bien au delà. Plus personne ne doit froisser personne. C’est apparemment le code imposé. Et tout le monde à intérêt à l’adopter. Sinon plus d’invitations nul part et coupure publicitaire totale. Quoi que vous fassiez.
La ville de Paris et ses dirigeants n’ont donc voulu prendre aucun risque. Ils ont proposés plusieurs lieux à M. Koons pour faire atterrir sa prise d’otage dans la ville des lumières. Tous les lieux proposés avaient des défis structurels ou esthétiques. Il choisit celui qui se trouve devant le musée d’art contemporain pour sa valeur symbolique… La place n’est pas limitée par des dispositions historiques de conservation.
La nouvelle Ministre d’Emmanuel Macron, Françoise Nyssen, devrait réagir vite. Il est sans doute encore temps de faire marche arrière. De trouver un mensonge ou deux. Dire à Jeff qu’on a piscine. Qu’on n’a plus vraiment le temps. Qu’en France en ce moment tous les artistes doivent sculpter le corps d’Emmanuel Macron pour espérer un jour voir leur œuvre exposée à l’intérieur du nouveau parti politique unique.
Bon, d’accord, l’inénarrable Anne Hidalgo a validé la manœuvre. Forcement. Comme toute stratège politique, elle fait ce que les forces d’argent lui ont dicté. Toujours contente d’accueillir un bouquet de tulipes de 30 tonnes dans une ville qu’elle croit à elle, Anne aime Jeff. Jeff aime Anne. Jeff et Anne, forever. Pas question donc de contredire l’ami des derniers milliardaires parisiens. Enfin, jusqu’à l’intervention – peut-être – de Françoise Nyssen.
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