Marc Luyckx (en 2017) : « Ton fils à l’école, on va lui faire une petite injection, si tu ne fais pas l’injection, on le met dehors de l’école »

Marc Luyckx Ghisi a toujours su anticiper, c’est normal, c’est son métier. Mais à ce point, cela laisse bouche bée. Dès 2017, lors d’une longue interview à Thinkerview, il avait annoncé un monde qu’il avait prévu dit-il pour « dans 30 ans ». En réalité, ses prédictions sont arrivés bien plus tôt qu’il ne le pensait. Pour le reste, il ne se trompe pas. La preuve à l’écrit et à l’image.

Marc Luyckx Ghisi : « On va injecter dans des volontaires, une petite injection, et là dedans il y a un milliard de petits ordinateurs biologiques, de la taille d’une cellule, qui s’auto-reproduisent dans l’organisme […] On va augmenter le potentiel humain, donc ton fils à l’école, on va lui faire une petite injection, si tu ne fais pas l’injection, on le met dehors de l’école. Nous sommes dans trente ans. Ils vont injecter une centaine ou un millier de gens et puis on va se rendre compte tout a coup que les recherches actuelles du cerveau montre que oui le cerveau a une fonction d’ordinateur, de dispatching de l’information, ce n’est qu’une des quatre fonctions du cerveau, parce qu’on a découvert que le cerveau est aussi un émetteur, un récepteur de lumière, et qu’il y a une communication entre le cerveau du haut mais aussi celui du cœur et de l’intestin, et qu’ils communiquent […] Il y a une communication de lumière et aussi une mémoire dans l’ADN et donc les cellules arrivent à faire la synthèse de tout ça. Mais si tu injectes des ordinateurs pour augmenter le potentiel humain, tu ne fais oui, peut-être augmenter l’une des fonctionnalités du cerveau mais tu tues les autres et donc tu vas créer des zombies, des Frankenstein. Et quand ils en auront créé un millier, ils vont se rendre compte, et là l’augmentation du potentiel humain va disparaitre du jour au lendemain et tout les GAFA vont se réorienter vers un débat éthique. Qui aura lieu où ? En Europe. Il n’y a pas d’autre alternative. Ou l’alternative, c’est les gens qui deviennent fous. Quand les gens verront dans les journaux ou sur Facebook, l’état des enfants sur lesquels on a injecté les fameuses potions magiques, ça sera la catastrophe. Et donc il n’y pas d’alternative. »