La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Histoire de finir cette année 2015 bien pourrie comme elle a commencé, on a appris le décès de Marc Lagrange. Le photographe anversois serait mort accidentellement en voyage touristique sur l’île de Tenerife. Il était considéré comme l’un des artistes les plus influents de la seconde moitié du XXème siècle. Réputé pour ses clichés de femmes nues dans la droite ligne de Lindbergh ou Newton, sa fibre classique résonnait encore plus haut. Passionné par la sculpture, il pensait les corps comme un matériel brut à assouplir. Mais les grands noms de la peinture devaient également peupler ses neurones. Chacune de ses photos est pensée comme un tableau. Tous les photographes le font, mais pas tous avec la virtuosité d’un peintre de la Renaissance. Et comme à cette époque où le figé devait raconter l’animé, Marc Lagrange a su peindre des vies entières en un simple cliché. Sa série, Senza Parole, est tout simplement l’une des plus belles que le monde de la photo n’ait jamais vue.
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.