Dans un monde où la mode a longtemps été synonyme de séduction et d'érotisme – des décolletés plongeants aux silhouettes moulantes qui criaient "sex sells" –, une transformation radicale s'opère.
Dans l'univers impitoyable du luxe, Bernard Arnault fait face à un déluge d'allégations : de la disparition d'Éric Freymond, financier de l'ombre dans l'affaire Hermès, aux déclarations choc de Kanye West sur la mort de Virgil Abloh.
Ces dernières années, l’intelligence artificielle (IA) s’est imposée dans de nombreux secteurs, y compris celui de la mode, où elle commence à redéfinir les standards.
Histoire de finir cette année 2015 bien pourrie comme elle a commencé, on a appris le décès de Marc Lagrange. Le photographe anversois serait mort accidentellement en voyage touristique sur l’île de Tenerife. Il était considéré comme l’un des artistes les plus influents de la seconde moitié du XXème siècle. Réputé pour ses clichés de femmes nues dans la droite ligne de Lindbergh ou Newton, sa fibre classique résonnait encore plus haut. Passionné par la sculpture, il pensait les corps comme un matériel brut à assouplir. Mais les grands noms de la peinture devaient également peupler ses neurones. Chacune de ses photos est pensée comme un tableau. Tous les photographes le font, mais pas tous avec la virtuosité d’un peintre de la Renaissance. Et comme à cette époque où le figé devait raconter l’animé, Marc Lagrange a su peindre des vies entières en un simple cliché. Sa série, Senza Parole, est tout simplement l’une des plus belles que le monde de la photo n’ait jamais vue.
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