La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Le titre est déjà une philosophie à part entière. Se perdre pour mieux se retrouver. Parce que dans ce film de Todd Bilton pour Juliette Hogan, il s’agit bien de lâcher prise pour retrouver la liberté. Un titre, donc, en forme de paradoxe que n’auraient pas renié les penseurs grecques. Sur la superbe musique de Kerreta, une fois n’est plus coutume, le joug liberticide est représenté par un homme, non pas maléfique, mais bien trop banal. La femme retrouve sa féminité en se détachant (et en abandonnant, au passage, l’homme dans une situation inconfortable) de son couple.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.