Une nouvelle figure émerge dans l’ombre des galeries d’art parisiennes, prête à bouleverser le monde de la mode et de l’art pour les décennies à venir. Luiza Rozova, la fille cachée de Vladimir Poutine, travaille actuellement dans une galerie d’art à Paris exposant des artistes anti-guerre...
Dans cet entretien, traduit pour la première fois du GQ russe au français, Luiza Rozova, fille de Vladimir Poutine, se confie. Désormais active dans une galerie d’art à Paris, elle racontait il y a quatre ans déjà son quotidien, ses passions pour Elon Musk et sa quête d’identité loin du Kremlin...
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
Pourquoi lui ? L’opticien de Lampedusa n’est pas un bon livre. C’est un livre indispensable. Mais contrairement à ce qu’on a pu lire, il n’est pas indispensable pour comprendre la situation des réfugiés. Il l’est pour comprendre l’homme. Homo sum, humani nihil a me alienum puto. Il y a tout dans ce livre. L’ignorance. La compassion. La solidarité. La prise de conscience. La culpabilité. Mais aussi des thèmes dignes de l’Antiquité. Le courage. L’héroïsme quotidien. L’honneur. Un récit simple qui frappe et disons le franchement, tire les larmes. Des détails qui font l’histoire. On ne peut pas appréhender les grands phénomènes humains dans leur globalité. L’Histoire est trop grande pour être embrassée par l’homme. L’homme ne sait voir que par ses yeux. Ou ceux des autres. Il y a tout l’homme dans ce livre. Un jour, il sera étudié.
Où le lire ? Dans un congrès du FN.
Incipit. Je ne sais comment vous décrire cette scène.
Le passage à retenir par cœur. Jamais je n’ai vu autant de personnes dans l’eau. Tant de corps se débattre, de mains attraper le vide, de poings frapper l’air, de visages noirs happés par les vagues avant de resurgir à la surface. Le souffle court, ils appellent, s’étouffent, hurlent. mon Dieu, ces cris stridents. Je les vois résister, les mains écartées, serrés les uns contre les autres, cramponnés au moindre morceau de bois, luttant à mort pour ne pas être engloutis. Ils crient. Ils sont partout.
À qui l’offrir ? Pas aux personnes croisées au congrès FN, leur cynisme vous ferait chialer. Mais, sinon, à tout le monde.
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