638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
Imaginez un instant : nous sommes en 2026, et Macron, lassé des critiques acerbes sur les réseaux sociaux, décide de franchir le Rubicon numérique. Inspiré non pas par les Lumières, mais par Pékin, il déploie un arsenal high-tech pour "protéger la démocratie républicaine".
En ce début décembre 2025, alors que l’hiver s’installe avec son cortège de froid et de repli, une nouvelle affaire secoue les fondations déjà fissurées de la magistrature française.
Bart Hess n’a pas trente ans. Né en 1984, Bart Hess possède les atouts de sa génération : une maîtrise de multiples médias et la volonté de les mixer. Ainsi, le Néerlandais utilise la photo, la vidéo, l’animation et les arts plastiques. On pourrait s’attendre à un mélange un peu bordélique, mais pas du tout. La maîtrise est parfaite et on se prend à se demander en permanence si on est en face à des effets spéciaux ou à une réalité. Son talent, Bart Hess le met au service d’un esprit quelque peu dérangé. Un univers de mutants, d’humains en mue, de déchirements et de frôlements. Bref un univers qui colle parfaitement à la peau de Marilyn Manson qui avait su faire parler de lui en tournant pour le réalisateur d’horreur Eli Roth qui mettait en scène le viol de la chanteuse Lana Del Rey. Décidément l’artiste a l’art de ne jamais se faire oublier.
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
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