Imaginez un État qui, sous le voile de la protection, orchestre le rapt de 80 000 enfants, arrachés à leurs familles par une machine administrative impitoyable. Dans Les Prédateurs, Jacques Thomet, journaliste intrépide, dissèque cette horreur factuelle avec un courage qui glace le sang.
Si dans la pornographie ambiante s'est perdue l'illusion du désir,dans l'art contemporain s'est perdu le désir de l'illusion. Dans le porno, rien ne laisse plus à désirer.
Chers lecteurs, chères lectrices, je vous écris avec la rage au ventre, celle qui vous noue la gorge et vous empêche de dormir la nuit. Car ce que je vais vous révéler n’est pas une anecdote sordide, un fait divers relégué en bas de page.
"Les prédateurs" : Enquête sur un rapt de 80 000 enfants
Imaginez un État qui, sous le voile de la protection, orchestre le rapt de 80 000 enfants, arrachés à leurs familles par une machine administrative impitoyable. Dans Les Prédateurs, Jacques Thomet, journaliste intrépide, dissèque cette horreur factuelle avec un courage qui glace le sang.
Citoyens, éveillez-vous ! Dans l'ombre des institutions que nous croyons protectrices, un prédateur rôde. Pas un monstre isolé, non : un système vorace, une machine infernale qui a dévoré l'innocence de 80 000 enfants.
Raptés, arrachés à leurs familles sous couvert de lois bienveillantes, ces petits êtres – nos enfants, nos espoirs – ont été livrés à un engrenage de souffrances invisibles. Ce n'est pas une fiction dystopique, c'est une réalité française, documentée, implacable.
Et aujourd'hui, sur la plateforme APAR.TV – ce bastion de journalisme ultra-rapide et prédictif qui traque les vérités cachées pour éclairer l'avenir –, nous lançons un appel au soulèvement intellectuel et moral : lisez, soutenez, agissez !
Jacques Thomet n'est pas un pamphlétaire en chambre. Journaliste chevronné, il a plongé au cœur de cette abomination avec un courage exceptionnel, un travail factuel d'une rigueur remarquable.
Les Prédateurs n'est pas un cri dans le vide : c'est une enquête titanesque, nourrie de témoignages irréfutables, de documents officiels déterrés des abysses administratifs, de preuves qui claquent comme des gifles à la complaisance collective.
Thomet nomme les responsables, dissèque les mécanismes – des services sociaux aux tribunaux, en passant par les lobbies occultes –, et révèle comment un État, au nom de la "protection", devient le plus grand des ravisseurs.
Ce livre est une arme : factuelle, incisive, inaltérable. Il ne divise pas ; il unit ceux qui refusent l'injustice au nom des plus vulnérables.
Sur APAR.TV, nous ne nous contentons pas de relayer les nouvelles : nous forgeons l'avenir en amplifiant les voix qui osent. Et Les Prédateurs en est l'incarnation parfaite.
L'autoédition est en marche, relecture finale aux normes typographiques impeccable, couverture qui frappe comme un uppercut en préparation.
Vous êtes déjà 80 à avoir répondu à l'appel, précommandant à tarif préférentiel : 14 € (hors frais de port : 5,20 € via La Poste ou 4,90 € via Mondial Relay – et ce dernier tarif reste fixe, que vous preniez un exemplaire ou une dizaine pour vos proches, vos cercles militants).
Mais l'heure presse ! Les précommandes s'achèvent bientôt. Une fois closes, l'imprimeur sera payé, et le prix grimpera à 17 € + port.
Rien à régler pour l'instant : vous serez informés des modalités de paiement sécurisé avant l'envoi triomphal. C'est votre chance de rejoindre les premiers lecteurs, de brandir ce manifeste en papier contre l'oubli.
Commandez dès maintenant sur jacques.thomet@cide.ch. Ne laissez pas ces 80 000 voix étouffées s'éteindre dans le silence des archives. Exposez les prédateurs. Libérez la vérité. Pour les enfants, pour la justice, pour un futur où la protection rime avec humanité.
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