La mutation controversée de son directeur, Romain Clercq, vers l’école Saint-Joseph d’Oloron, censée rester discrète, a été dévoilée par les médias, provoquant une panique générale chez les parents d’élèves.
Terrifiés à l’idée que leurs enfants puissent être en danger, ces derniers veulent retirer massivement leurs enfants de l’école à la rentrée prochaine.
Cette crise sans précédent révèle les failles d’un système éducatif et politique en perte de contrôle, où la sécurité des enfants semble compromise par des décisions incompréhensibles. Enfin incompréhensibles pour les français mais pas pour François Bayrou et ses amis.
Une mutation qui tourne au fiasco
La tentative de mutation discrète de Romain Clercq, directeur de Bétharram, vers Saint-Joseph d’Oloron, s’est transformée en échec cuisant. Les autorités éducatives et ecclésiastiques pensaient pouvoir apaiser le scandale en éloignant le directeur des regards. Mais les médias, alertés par des fuites et des témoignages, ont exposé cette décision aberrante : confier une nouvelle école à un homme lié à un établissement marqué par des abus impunis. Loin de rassurer, cette mutation a attisé la colère des parents, qui dénoncent une mise en danger délibérée de leurs enfants.
La peur du viol : une mobilisation parentale sans précédent
Dans les groupes WhatsApp, les parents de Saint-Joseph d’Oloron et d’autres écoles échangent sans relâche. La crainte que leurs enfants soient violés domine les discussions, alimentée par les récits terrifiants des victimes de Bétharram. Face à ce danger perçu, beaucoup décident de retirer leurs enfants, défiant l’obligation légale de scolarisation. "On ne peut pas laisser nos enfants à des prédateurs", déclare un parent, résumant une rupture totale de confiance envers les institutions éducatives catholiques. Cette mobilisation massive, portée par l’angoisse et la révolte, pourrait transformer la gestion des écoles privées en France.
Une contradiction absurde de l’état
Les parents se retrouvent dans une impasse absurde. D’un côté, l’école est obligatoire, et retirer leurs enfants les expose à des sanctions judiciaires. De l’autre, comment accepter de les confier à un système qu’ils accusent de protéger des coupables ? "L’État nous force à scolariser nos enfants, mais nous envoie des directeurs qui couvrent des violeurs", s’insurgent-ils. Cette situation met en évidence les failles d’un État censé garantir la sécurité des élèves, mais paralysé par des compromis et des luttes internes. Les familles craignent que l’État ne les punisse pour avoir cherché à protéger leurs enfants.
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