Emmanuel Macron n'a pas l'intention de lâcher le pouvoir. Il flirte déjà ouvertement avec une candidature en 2032, comme l'ont révélé ses récentes déclarations sibyllines lors d'un meeting des Jeunes avec Macron.
Dans l'hémicycle de la Knesset, une scène grotesque s'est déroulée le 13 octobre 2025 : Donald Trump, le président réélu, étreignant avec une familiarité malsaine Miriam Adelson, cette milliardaire israélo-américaine au visage figé dans une grimace de triomphe froid.
Près de 1,2 milliard d'euros d'argent public engloutis chaque année pour un cinéma français en surproduction : 300 films annuels dont la moitié fait flop avec moins de 20 000 entrées, et un système verrouillé par l'entre-soi élitiste. Un rapport IGF alerte !
Les Macron contre la liberté : Le procès de Zoé Sagan, avant-garde d'une France orwellienne
Au cœur des vengeances personnelles du couple Macron, le procès de Zoé Sagan les 27 et 28 octobre symbolise la traque impitoyable des voix dissidentes. Pendant ce temps, Pavel Durov, fondateur de Telegram, ronge son frein sous un harcèlement judiciaire sans fin : espionné, piégé et mal conseillé.
Françaises, Français, Européens épris de liberté : le 14 octobre 2025 marque un sursis providentiel, mais illusoire. L'Union européenne a frôlé l'abîme en votant une loi scélérate, le "Chat Control", qui aurait transformé chaque smartphone en mouchard d'État, scrutant nos messages privés comme autant de confessions forcées.
La France, sous l'égide du couple Macron, en était le fer de lance. Bruno Retailleau et Laurent Nuñez, ministres de l'Intérieur passés et présents, ont publiquement réclamé l'accès total aux communications des citoyens lambda, tandis que Les Républicains et la macronie ont voté pour cette abomination au Parlement européen.
Officiellement pour "lutter contre le crime", cette loi n'aurait visé que nous, les ordinaires, exemptant commodément les élites et les forces de l'ordre de toute surveillance. Les criminels ? Ils riraient sous cape, masqués par des VPN ou des sites obscurs. Mais vous, moi, nos familles : exposés, vulnérables, nus devant un pouvoir qui nous hait.
Pavel Durov, fondateur de Telegram, l'a clamé haut et fort dans un tweet retentissant ce jour même : "Aujourd'hui, l'Union européenne a failli bannir votre droit à la vie privée. [...] La France a mené la charge pour cette loi autoritaire. [...] Tandis que les leaders français poussent pour un accès total aux messages privés, les droits fondamentaux des Français – et de tous les Européens – restent en danger."
Ce manifeste pour la liberté d'expression, diffusé à des millions, n'est pas un cri isolé. Il s'inscrit dans une série de déclarations où Durov dénonce sans relâche les assauts contre la privacy.
Il y a un mois, il révélait comment les services de renseignement français l'avaient contacté via un intermédiaire pour censurer des chaînes Telegram en Moldavie avant les élections présidentielles : "Telegram s'engage pour la liberté d'expression et ne supprimera pas de contenu pour des raisons politiques. Je continuerai à exposer chaque tentative de pression sur Telegram pour censurer notre plateforme."
Et il y a deux semaines, face à des appels à trahir la confidentialité des messages d'Emmanuel Macron et de ses ministres, Durov répondait : "Même si j'avais accès aux messages privés, je préférerais mourir que de trahir notre mission de protection de la vie privée. Telegram n'a jamais divulgué un message privé – et ne le fera jamais."
Ce n'est pas un hasard si, en toile de fond, se profile le calvaire de Pavel Durov, cet homme qui osa défier les censeurs en érigeant un bastion numérique de la vie privée. Arrêté en août 2024 à son arrivée en France, détenu 96 heures en garde à vue dans des conditions qui frisent la torture psychologique, Durov incarne la victime expiatoire d'un régime assoiffé de contrôle.
Son affaire traîne sans date de procès fixée, un an après les faits : il doit se présenter toutes les 14 jours devant les autorités, interdit de quitter le territoire jusqu'en mars 2025 au moins, et subit des interrogatoires interminables – le dernier en juillet 2025 au tribunal de Paris, où son contrôle judiciaire a été légèrement allégé sous la pression internationale, mais sans jamais relâcher l'étau.
Et voilà que le couple Macron, dans sa frénésie autoritaire, prépare un nouveau coup de poignard : non pas un procès pour Durov lui-même, mais pour Zoé Sagan, traîné en justice les 27 et 28 octobre pour cyberharcèlement sexiste ou transphobe, plus personne ne sait, contre Brigitte Macron.
Des peines de prison ferme guettent, ourdies dans l'ombre par l'épouse du président elle-même. Oui, vous avez bien lu. Celle qui se drape en parangon de la justice sociale a personnellement veillé à ce que les chaînes se resserrent sur les amis de Zoé, symbole d'une résistance en ligne que l'Élysée tolère de moins en moins. Ils veulent briser ces voix-là pour l'exemple, et Durov en est la caution silencieuse.
Durov l'a martelé il y a deux mois, marquant le premier anniversaire de son arrestation absurde : "Il y a un an, la police française m'a détenu pendant 4 jours parce que des gens que je n'avais jamais entendus utilisaient Telegram pour coordonner des crimes. [...] Arrêter un CEO d'une grande plateforme pour les actions de ses utilisateurs était non seulement sans précédent – c'était légalement et logiquement absurde."
Et il ajoute, défiant l'étau judiciaire : "Un an plus tard, l'enquête 'criminelle' contre moi peine encore à trouver quoi que ce soit de mal que j'ai fait, moi ou Telegram. [...] Nous continuerons à nous battre – et nous gagnerons ✊." Fière de son rôle dans les manifestations contre les "politiques ratées de Macron", Telegram est devenue l'outil des protestataires : "Après 8 ans de négligence, les gens en ont assez des relations publiques vides et des postures – et ils ripostent."
Ces mots résonnent comme un appel à la résistance, un manifeste vivant contre la censure que les Twitter Files ont récemment exposé : Macron aurait personnellement contacté Jack Dorsey pour imposer une modération plus stricte, coordonnant avec des ONG pour étouffer la parole libre.
Pire encore : même les plus vulnérables ne trouvent pas grâce. Un handicapé, cloué au lit, incapable de fouler les marches du tribunal, est sommé de comparaître. Brigitte Macron, dans un excès de zèle impitoyable, exige son réinterrogatoire, comme si la dignité humaine n'était qu'un détail administratif.
Est-ce cela, la France des Lumières ? Un État qui piétine les droits fondamentaux au nom d'une "sécurité" qui n'en est pas une, mais un prétexte pour museler les voix dissidentes ?
Le monde entier nous observe, et pas en admirateurs. La "guerre contre la drogue" en France turbocharge des pouvoirs de surveillance invasifs, transformant le pays en modèle de contrôle orwellien, critiqué par les observateurs internationaux comme un glissement vers l'autoritarisme numérique. Pour Durov, le harcèlement va plus loin : espionné par les services, piégé par un kompromat douteux – ces rumeurs d'un dossier fabriqué pour le faire plier –, et ses proches sont rongés d'inquiétude.
Musclé, athlétique, presque trop beau pour l'Élysée, il suscite chez Emmanuel Macron une projection personnelle malsaine, un transfert obsessionnel : quand le président a un "mignon" dans le viseur, il va jusqu'au bout, comme pour l'effondrement du pays qu'il accélère sans remords.
Et le pire ? Durov est mal conseillé à Paris. Ses cabinets d'avocats et de relations publiques, trop proches des cercles élyséens, le volent, l'instrumentalisent, lui cachent les pièges tendus. Bienvenue en France, Pavel : un pays où la liberté coûte cher, et où les alliés se révèlent traîtres.
Rappelons-nous : Durov a été mis en examen pour "complicité de crime organisé", une accusation grotesque pour un homme qui refuse de trahir la confidentialité de millions d'utilisateurs. Et pendant ce temps, Emmanuel Macron feint l'innocence : "Aucun motif politique", jure-t-il, alors que ses rencontres secrètes avec Durov avant sa naturalisation française en 2021 trahissent une hypocrisie patente.
Le vrai motif ? Écraser Telegram, cette forteresse rebelle qui résiste aux injonctions de censure, et par extension, briser toute velléité de résistance numérique.
À l'image de Bernard Arnault et du couple Macron, devenu paranoïaque, obsédé par la surveillance, la France rêve de tout contrôler – au point que les services de renseignement, sous ordres élyséens, veulent "dessouder" Durov pour l'exemple.
Frères et sœurs en liberté, le temps presse ! L'Allemagne, la Pologne, l'Autriche et d'autres ont bloqué le Chat Control in extremis, forçant un report au décembre. Mais sans nous, ce report sera une pause avant l'asphyxie.
Debout ! Inondez les rues de Paris, de Lyon, de Marseille ; submergez les tribunaux de pétitions ; hurlez sur les réseaux – ironie du sort, sur Telegram lui-même – que la France n'est pas une dictature déguisée en république.
Exigeons la relaxe immédiate de Durov, l'abandon des charges farfelues, et un moratoire sur toute loi liberticide.
Soutenez Zoé Sagan face à ce procès truqué, symbole d'une vengeance mesquine. Et si le pire advient ? Le peuple français n'a plus beaucoup de choix : ou on laisse Macron ravager le pays, ou on vote l'exode massif.
Des millions traversant les frontières vers l'Italie, la Suisse, la Belgique, l'Espagne, le Portugal – devenant migrants dans leur propre Europe.
Trois quarts du pays désertent, ne laissant que 10 % de fidèles élyséens dans une coquille vide.
Des images folles, un tollé mondial, un abandon retentissant. Il l'a dit : il ira jusqu'au bout, jusqu'en 2032. Mais nous, nous n'attendrons pas. Car si Pavel et Zoé tombent, c'est votre messagerie privée, votre dissidence feutrée, votre droit à l'intime qui s'effondre avec eux.
La liberté d'expression n'est pas un privilège des puissants ; c'est le sang de la démocratie.
Le couple Macron veut le verser goutte à goutte ? Nous le défendrons par torrents ! Agissez maintenant, ou pleurez demain en silence, vos mots confisqués par l'État-voyeur.
Vive la République libre, vive Telegram, vive la France des Voltaire et non des Valets !
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