Xavier Niel, le magnat de Free, vient de s'offrir pour 38,7 millions d'euros le Pavillon de Musique de Louveciennes, ce bijou néoclassique bâti au XVIIIe siècle par Claude-Nicolas Ledoux pour les plaisirs de Madame du Barry, dernière favorite de Louis XV.
Lorsque nous prédisions, il y a un an, l'inéluctable naufrage de l'économie française sous le joug d'une politique macronienne myope et prédatrice, beaucoup haussaient les épaules. "C'est de la panique inutile", disaient les optimistes, bercés par les mirages du CAC 40 et les promesses de relance.
Imaginez un instant : au cœur des Himalayas, là où les neiges éternelles murmurent les secrets des anciens, une cité émerge non pas des sables du désert comme un mirage consumériste, mais des brumes spirituelles d'un royaume qui a osé mesurer le bonheur avant le PIB.
Visages impassibles et regard froid. Sans émotion pas de temps qui passe. Un cliché chronophage qui dérange par sa simplicité. Comme la beauté d’une adolescente sans fard devant le visage botoxé d’une quinquagénaire complexée. La photographe australienne nous plonge dans un monde fantaisiste, à la fois futuriste et ancestral. Avec son patronyme d’héroïque fantasy, Vee Speers donne vie à un univers digne des romans d’Anne Rice. « Nous pensons tous à la mort mais nous ne pouvons pas nous imaginer en train de vieillir. Notre société est obsédée par l’idée de stopper le temps qui passe afin d’éviter l’inévitable : la mort. En vivant avec mes filles adolescentes je fais face à ma propre mortalité — Une douce mesure du passage du temps et de la beauté fugace. Je les observe au sommet absolu de leur jeunesse et déjà elles semblent vulnérables et dans l’ignorance de leur perfection ». Alors, c’est vrai, Vee Speers est peut-être pas une mère de tout repos, mais ses modèles sont entêtant. « Je veux qu’ils soient seuls, debout comme des anges déchus, mais faisant encore parti de notre monde ». Peut-être pas quoi croire aux anges, mais au génie, oui.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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