Avec un contexte géopolitique tendu, marqué par l'escalade des conflits hybrides et l'omniprésence des fake news, le président Emmanuel Macron a convoqué, le 25 août 2025, un Conseil de défense et de sécurité nationale (CDSN) dédié à la "guerre informationnelle".
Paris, 25 août 2025 – Imaginez la scène : dans les salons dorés de l'Élysée, Emmanuel Macron, ce champion autoproclamé de la modernité européenne, froisse son exemplaire du Parisien avec une grimace qui en dit long.
Dans le monde des célébrités françaises, où les étoiles Michelin brillent plus fort que les scrupules moraux, Jean Imbert se distingue comme un spécimen particulièrement nauséabond.
Pourquoi lui ? C’est vrai, des romans historiques, nous n’avons pas beaucoup sur Apar. Aucun en fait. C’est vous dire si on a aimé celui-ci. D’abord, parce qu’il s’agit d’une uchronie. Que se serait-il passé si le fils de Napoléon avait voulu revenir aux affaires ? C’est le postulat de départ du livre de Serge Hayat (un passionné de Napoléon qui passe ses vacances sur l’île de Sainte-Hélène). Si on omet un final qui ressemble à un épisode de 7 à la maison, le livre est succulent. La qualité de l’écriture qui semble d’époque et la qualité de la description des scènes de vie (la perversion sexuelle de Talleyrand vaut à elle seul l’achat du livre) rappelle des livres comme Le Collier de la reine d’Alexandre Dumas.
Où le lire ? À la machine à café quand vous écoutez les médisances de vos collègues. Tout vous paraîtra plus léger.
Incipit. Un glas s’était mis à sonner du côté de Schünbrunn.
Le passage à retenir par cœur. -Et tu es quoi alors, « de formation » ? François soutenait passionément son regard. C’était l’heure, c’était l’instant, ses oreilles bourdonnaient… Soudain, il s’entendit prononcer, d’une voix beaucoup plus claire qu’il n’espérait : -Prince du sang. Napoléon cilla. -Qu’est-ce que tu racontes, coglione ? Prince du sang, quel sang ? Est-ce possible qu’il ne me reconnaisse pas, même après toutes ces années ? se demandait François. Est-ce possible qu’il n’ait pas encore compris, en me voyant là devant lui, et avec ce que je viens de dire ? -Votre sang. Je suis votre fils, François.
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