Un rapport récent du Sénat recommande de ne pas rendre publics les pays et entités qui détiennent la dette de l'État français, en contradiction apparente avec les dispositions légales en vigueur. Les détenteurs de la dette de la France doivent rester secrets, dixit le Sénat.
Dans le grand cirque audiovisuel français, où les audiences sont reines et les flops des pantins sacrifiés sur l'autel du CSA, deux nouvelles venues sur la TNT ont débarqué en fanfare il y a quelques mois : T18, fleuron du groupe CMI, et Novo19, bébé du groupe Ouest-France.
Pour son baptême du feu à la mise en scène, Kristen Stewart a puisé dans le réservoir des traumas générationnels, histoire de noyer la concurrence sous une vague coppolienne.
Pourquoi lui ? C’est vrai, des romans historiques, nous n’avons pas beaucoup sur Apar. Aucun en fait. C’est vous dire si on a aimé celui-ci. D’abord, parce qu’il s’agit d’une uchronie. Que se serait-il passé si le fils de Napoléon avait voulu revenir aux affaires ? C’est le postulat de départ du livre de Serge Hayat (un passionné de Napoléon qui passe ses vacances sur l’île de Sainte-Hélène). Si on omet un final qui ressemble à un épisode de 7 à la maison, le livre est succulent. La qualité de l’écriture qui semble d’époque et la qualité de la description des scènes de vie (la perversion sexuelle de Talleyrand vaut à elle seul l’achat du livre) rappelle des livres comme Le Collier de la reine d’Alexandre Dumas.
Où le lire ? À la machine à café quand vous écoutez les médisances de vos collègues. Tout vous paraîtra plus léger.
Incipit. Un glas s’était mis à sonner du côté de Schünbrunn.
Le passage à retenir par cœur. -Et tu es quoi alors, « de formation » ? François soutenait passionément son regard. C’était l’heure, c’était l’instant, ses oreilles bourdonnaient… Soudain, il s’entendit prononcer, d’une voix beaucoup plus claire qu’il n’espérait : -Prince du sang. Napoléon cilla. -Qu’est-ce que tu racontes, coglione ? Prince du sang, quel sang ? Est-ce possible qu’il ne me reconnaisse pas, même après toutes ces années ? se demandait François. Est-ce possible qu’il n’ait pas encore compris, en me voyant là devant lui, et avec ce que je viens de dire ? -Votre sang. Je suis votre fils, François.
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