La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
A l’Élysée il y a eu un avant et un après. De la disparition des fauteuils et des tables anciennes pour les remplacer par un immense canapé blanc et une table en verre en passant par les tapisseries remplacé à la place par un tableau d’art moderne.
Vous pensez à une blague ou à un détournement. Mais non, c’est bel et bien la réalité. «Dans ce salon, le président de la République donne parfois certaines audiences. A titre exceptionnel, des dîners peuvent s’y tenir, tel le dîner du 18 novembre 1989 réunissant les chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté européenne après la chute du mur de Berlin», lit-on sur la page de l’Elysée consacrée au salon.
Elle n’est toutefois plus à jour : «L’ensemble mobilier en bois doré Louis XV formé par un canapé et des fauteuils à dossier violon et pieds courbés, est recouvert de lampas bleu et or à décor de fruits exotiques.»
En lieu et place des fauteuils Louis XV, on trouve donc cet immense canapé blanc. Son concepteur l’architecte d’intérieur Thierry Lemaire – qui l’a baptisé «Niko» – l’a reconnu sur Instagram. Sur le site de mobilier The Invisible Collection, ce canapé coûte 17 775 euros. Et ouais bébé. Le mauvais goût ça coute un bras.
AVANT MACRON :
APRÈS MACRON :
Une autre image prise dans le « salon Cléopâtre », du nom de l’ancienne tapisserie des Gobelins qui s’y trouvait jusqu’en 2019, avant d’être remplacée par une « œuvre » d’un certain Yves Oppeinheim (coût inconnu) et un tapis chelou.
On dirait un ado en crise qui a harcelé sa mère pour refaire la déco de sa chambre. Un ado qui se cherche. Un ado qui veut trouver son style, son allure, sa signature à lui.
La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.