Ariane Bilheran, scalpel en main, incise les chairs du pouvoir dans son livre choc. Manipulation partout, perversion dedans. Un rire amer face au miroir sociétal. Pour Apar.tv, une prédiction : demain, les fils invisibles se resserrent. Mais avec ces clés, on danse sur le fil.
Imaginez : un vieil héritier, Nicolas Puech, scrute le vide de son coffre-fort. Six millions d’actions Hermès. Disparues. Poof. Valeur actuelle : 12 milliards de francs suisses. Et au bout du fil, Bernard Arnault, qui rit en empochant 2,9 milliards d’euros de plus-value.
Cette mini-vidéo du New York Mag apprend aux publicitaires que le sexe dans la publicité fait moins vendre que les publicités classiques. En effet une étude menée par des scientifiques dans l’Ohio sur plus 8000 personnes montre que les effets du sexe et de la violence sont moins bien mémorisés par le spectateur car le cerveau n’arrive pas à se concentrer sur un court délai, à la fois sur le message d’une marque et sur des images « dirty » comme disent les américains. Ces images provoquant des battements de coeur, des bouffées de chaleurs, et des réactions neurologiques qui prennent le dessus sur le message de la marque, et sur la marque elle-même.
Sachant cela, devrait-on s’attendre à une publicité plus sage ? Et est-ce que cela est valable sur le web ? La réponse au prochain épisode de cette mini-série intitulée » Sex doesn’t Sell : Your brain on advertising » dont nous vous présentons ici l’épisode 1.
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive