Le scandale Macron, Trump et Owens – Une tragédie pour l’Ukraine et un clifhanger pour la France

Candace Owens, la podcasteuse qui défie les puissants, a encore frappé. Dans son dernier épisode, elle révèle un complot mondial impliquant Emmanuel Macron, Donald Trump et Brigitte Macron.

Préparez-vous, car l’absurde atteint des sommets, et les vies des Ukrainiens en paient le prix. Mais ce n’est pas tout.

À l’Élysée, c’est la panique. Candace Owens est en top tendance. Brigitte Macron aussi. Et Jean-Michel Trogneux, le pseudonyme fantôme, refait surface.

Depuis des mois, des millions d’euros ont été dépensés pour gérer ce passé étrange. Des équipes entières de la DGSE, habituées à traquer des terroristes, se lèvent chaque matin pour étouffer des rumeurs.

Et à 10 jours du procès Zoé Sagan, orchestré de A à Z par l’Élysée, un nouveau shitstorm éclate. La crise s’installe, même dans l’aile droite de Madame. Car oui, à l’Élysée, on commence à fatiguer.

Trop de mensonges, trop de manipulations, trop d’inversions accusatoires. Et maintenant, des têtes doivent tomber. Sauf celles de Brigitte et Emmanuel, bien sûr.

Un message de la Maison Blanche

Tout commence le 24 février. Candace reçoit un appel mystérieux. Un ami lui dit : « La Maison Blanche m’a demandé de t’appeler. Ils veulent que tu arrêtes de parler de Brigitte Macron. »

La Maison Blanche ? Pour Brigitte Macron ? Candace, choquée mais pas impressionnée, apprend que Macron était à Washington ce jour-là. Coïncidence ? Bien sûr que non.

« Est-ce qu’Emmanuel Macron a prétendu venir négocier la paix en Ukraine, mais en réalité, a organisé une réunion secrète pour me faire taire ? »

Imaginez Macron, en plein sommet diplomatique, chuchotant à Trump : « Donald, fais taire cette podcasteuse. » Et Trump, en mode Art of the Deal, répond : « D’accord, mais à quel prix ? »

Macron, Trump et la paix mondiale en péril

Le clou du spectacle arrive quand Trump appelle Candace. Oui, THE Donald. Il lui dit : « Tu dois être très puissante, Candace. Macron est furieux à cause de ton podcast. »

Puis, il ajoute : « Je viendrai sur ton podcast. » Un clin d’œil implicite. Traduction : « Tes enquêtes sont justes, mais tais-toi. Laisse-moi gérer les Européens. Laisse-moi terminer la guerre en Ukraine. Profite de ton congé maternité. 3-4 mois de silence sur Brigitte Macron. »

Une négociation cynique, où la paix mondiale repose sur le silence d’une podcasteuse.

Mais derrière cette demande, se cache une réalité encore plus troublante. Macron aurait « fait une prise de judo » à Trump, le faisant chanter. « Pas de paix en Ukraine si tu ne fais pas taire Candace. »

Pendant ce temps, des innocents meurent sous les bombes. C’est cela le plus tragique – un chef d’État qui place ses intérêts personnels avant ceux de l’humanité.

L’Élysée en panique

À l’Élysée, c’est la crise. Candace Owens est en top tendance. Brigitte Macron aussi. Et Jean-Michel Trogneux, le pseudonyme fantôme, refait surface.

L’erreur fatale ? Avoir mobilisé des militaires pour gérer des influenceurs, des auteurs dramatiques, des satiristes, des metteurs en scène, des écrivains. Des gens qui, depuis 30 ou 40 ans, traquent des terroristes, pas des auteurs de théâtre.

Résultat ? Des erreurs monumentales. Et maintenant, ces mêmes militaires risquent de payer le prix de leur incompétence. Car oui, à l’Élysée, on commence à se rendre compte que la guerre contre les rumeurs est perdue d’avance.

Trop de mensonges, trop de temps, trop d’argent. Et maintenant, des têtes doivent tomber.

Le timing catastrophique

Ces révélations tombent hier, au moment où les Américains reprennent l’information. Pourquoi maintenant ? Parce que le procès Zoé Sagan commence dans 10 jours, le 10 juillet 2025, au tribunal correctionnel de Paris.

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Un événement majeur, non seulement national, mais international. Zoé Sagan, est accusé de cyberharcèlement sexiste et transphobe, mais ses accusations contre Brigitte Macron – notamment sur un supposé détournement de mineurs – ont réveillé des démons.

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Brigitte Macron, furieuse, a mobilisé une équipe digne d’un chef d’État : le commandement militaire, le chef de cabinet et des avocats spécialisés.

De l’autre côté, Zoé Sagan n’a que Juan Branco, fraîchement rentré en France après une interview avec Thinkerview, épuisé et, dit-on, empoisonné pour le réduire au silence. Le bâtonnier veut même lui retirer sa robe d’avocat 4 à 5 jours avant l’audience. Un acharnement qui sent la peur.

Un procès qui dépassera les frontières

Ce procès promet d’être le « clifhanger » de la saison du mystère Brigitte Macron. Car, comme l’a écrit Zoé Sagan dans sa pièce de théâtre Le Procès, la justice française risque de conclure que tout cela était une fabrication pure, créée de toutes pièces par Sagan, et que les accusations de détournement de mineurs sont infondées.

Le parquet de Paris le présuppose déjà. Mais attention : si la justice française tranche ainsi, cela n’empêchera pas d’autres pays, comme les États-Unis, la Chine,, l'Inde ou la Russie de continuer à en parler.

Seuls les journalistes, écrivains, dramaturges et satiristes français seront muselés, du moins jusqu’en mai 2027. Une censure nationale dans un monde globalisé – une aberration.

Une tragédie pour l’Ukraine, une marque pour Macron