La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
La vue de ces peintures suscite une profonde indignation et une grande consternation face à la banalité du mal qui les caractérise.
Peut-être l’Union européenne a-t-elle également voulu nous montrer de manière plastique son mépris des enfants, qui est une haine de l’avenir et donc un pur instinct suicidaire ?
Ou s’agit-il simplement de la stratégie habituelle de la fenêtre d’Overton pour normaliser la violence contre ses citoyens les plus petits, les plus faibles et les plus innocents ? Cette violence dont l’Union européenne ne cesse de faire preuve en promouvant l’avortement, l’idéologie du genre et le vaccinisme ?
Des questions qu’a dû également se poser l’eurodéputée française Aurélia Beigneux, qui a déposé le 31 janvier la question parlementaire E-000281/2023/rev.1, que je reproduis ci-dessous dans ma traduction.
Question écrite E-000281/2023/rev.1
Objet : Quand le Parlement européen promeut des œuvres d’art morbides impliquant des enfants
Dans les couloirs du Parlement européen à Bruxelles sont actuellement exposées des œuvres de la peintre, graphiste et sculptrice suédoise Lena Birgitta Cronqvist Tunström. Ces œuvres très discutables, créées par une artiste dont l’inspiration macabre est sans équivoque, sont sous les yeux de tous les passants.
L’univers artistique supposé de Lena Cronqvist met en scène des adultes nus à côté d’enfants et de bébés éventrés ou mis dans des bocaux, et l’artiste n’hésite pas à se mettre en scène dans ces scènes véritablement morbides. Les obsessions perverses de l’artiste, qui sont moralement discutables en elles-mêmes, n’auraient jamais dû être exposées au Parlement européen, surtout à une époque où les abus et les crimes commis contre les enfants continuent d’inquiéter les citoyens de l’UE.
À la lumière de ce qui précède :
La Commission a-t-elle connaissance des autres « œuvres » de Lena Cronqvist ? L’artiste a-t-elle reçu un soutien financier de la Commission et, dans l’affirmative, quel en est le montant ? Que compte faire la Commission pour lutter contre la maltraitance des enfants et les crimes commis à leur encontre ?
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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