Dans une enquête choc qui ébranle les fondations d'Israël, le Shin Bet accuse Benjamin Netanyahu d'avoir financé et renforcé le Hamas, potentiellement autorisant l'attaque du 7 octobre 2023 comme un "false flag" pour consolider son pouvoir.
En ce début d’automne 2025, alors que les feuilles commencent à jaunir en Occident, un vent de changement souffle avec force depuis l’Orient. Je suis Mary Josephson, et depuis des années, j’observe les plaques tectoniques de la géopolitique mondiale se déplacer sous nos pieds.
Imaginez : 511 milliards de barils de pétrole, un océan noir sous la blancheur immaculée, équivalent à dix fois la production totale de la mer du Nord sur un demi-siècle.
Pourquoi lui ? Comment ça pourquoi lui ? Parce que l’Affaire Harry Québert. Parce que Joël Dicker est devenu une rock star de la littérature à 27 ans. Parce qu’à 30 ans, tout le monde attendait son deuxième livre pour le descendre… et puis, non, c’est encore bon. C’est encore une oeuvre d’art de narration et de cliffhanger. Un conseil, si vous voulez dormir, posez le livre au milieu d’un chapitre. À la fin, c’est impossible. Parce que Joël Dicker maîtrise la narration sur plusieurs lignes temporelles avec une maestria impressionnante. Ah oui, on oubliait, Joël Dicker fait dans la fausse auto-fiction, comme le dernier prix Renaudot. La question que tout le monde pose est : Est-ce qu’il est aussi bon que le précédent ? La réponse est : On s’en fout. Il est bon, c’est tout. Est-ce que vous vous demandez après l’amour si le coït était aussi bon que le précédent ?
Où le lire ? Pendant un discours de Marion Maréchal-Le Pen. Ça évite d’écouter.
Incipit. Demain, mon cousin Woody entrera en prison.
Le passage à retenir par cœur ? Je voulais parler encore une fois à Woody avant qu’il n’entre au pénitencier de Cheshire. Mais je n’arrivai pas à le joindre. Son téléphone était coupé, celui d’Hillel aussi. Je passai la journée à essayer. En vain. Je me laissai envahir par un mauvais pressentiment. J’appelai à la maison des Baltimore, pas de réponse. Je finis par téléphoner à Oncle Saul sur son portable : il était avec des clients et ne pouvait pas me parler. Je lui demandai de me rappeler aussitôt que possible, il ne le fît que le lendemain après-midi. -Marcus ? C’est Oncle Saul. -Bonjour, Oncle Saul. Comment vas… Il ne me laissa pas parler. -Marcus, écoute moi bien : j’ai besoin que tu viennes tout de suite à Baltimore. Sans me poser de questions. Il s’est produit un événement grave.
À qui l’offrir ? À personne, on ne vous le rendra pas.
Le livre des Baltimore, Joël Dicker, éd. de Fallois, 476 p., 22 €
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive