La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
« Le corps est la demeure de la conscience. L’un et l’autre dialoguent ensemble, parfois parallèlement mais généralement s’entremêlent. » S’il y a bien une tendance de fond en ce début de 21ème siècle, c’est celui de botter enfin les fesses aux principes du siècle des Lumières. Que les Montesquieu, Voltaire et autres Diderot ne s’offusquent pas, mais faire prévaloir l’intellect est une chose. Renier et mépriser le corps en est une autre. Le corps fait donc son grand retour. Un retour que nous appellerons l’effet Pennac ici. Marielsa Niels redonne la voix à l’épiderme dans sa série À Fleur de Corps. Un grain de photo qui donne l’impression, juste en regardant, de sentir le grain de peau sous la pulpe de nos doigts. Des gros plans (le jeu des échelles étant un leitmotiv du travail de la photographe) qui nous rappellent d’abord que, évidemment, la beauté est dans le détail, mais surtout qu’il s’agit du seul accès au corps. Un corps dans son ensemble n’est qu’une attitude. C’est-à-dire, le reflet d’une personnalité, pour ne pas dire d’une âme pervertie par les peurs de la réalité. Mais, dans le détail, chaque organe retrouve sa légitimité, son identité. Il serait criminel de penser que l’humanité n’est pas composée d’individu différenciés, chacun porteur d’une poésie propre. Il en va de même pour le corps humain.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.