La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
En occident, nous serions soumis à, environ, un millier de messages publicitaires par jour. Soit plus de 360.000 par an. Ou quelques 30 millions en une vie. Ce qui fait beaucoup. Trop pour certains. C’est le cas du Brandalism. Mouvement au nom créé de la contraction entre brand et vandalism. S’inspirant du travail de Bansky, lui-même inspiré par l’écrivain Sean Tejaratchi, le mouvement détourne les messages publicitaires sous toutes ses formes. Une interpellation des consciences, un électrochoc communicationnel.
24 des plus grands street artistes du monde ont collaboré à ce mouvement, dans une opération commando répartie sur 8 pays. Ce qui rappelle un Tyler Durden et ses sbires détournant le cynisme des messages consuméristes. Le Brandalism devrait s’épanouir dans une société où la tendance punk et rebelle s’inscrit chaque jour un peu plus dans les comportements.
Après tout, alors que les communicants doivent abandonner petit à petit leurs anciens supports devenus inutiles et inefficaces sur la nouvelle génération, nous pourrions imaginer que les milliers de 4×3 (100.000 en Grande-Bretagne selon Brandalism) deviennent support d’art. Que deviendrez un monde où nous serions soumis chaque jour à 1.000 œuvres d’art ? Peut-être un monde où l’intelligence ne serait plus considérée comme l’étendard d’une élite méprisante. Et où les abrutis et autres incultes de la télé-réalité ne seraient plus érigés en représentants de la réalité populaire.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.