Avec une atmosphère tendue, presque prophétique, l'expert militaire russe Andrei Martyanov, ancien officier de marine et analyste géopolitique acéré, s'est livré à une interview explosive le 9 octobre 2025 sur la chaîne Dialogue Works Français.
Pendant que 31 000 âmes fuient la misère en zodiacs, Clooney prêche la simplicité rurale depuis son château fiscal. Résultat ? Des gosses de milliardaires face à des cours de récrée en ruines, et un village qui bouillonne : bienvenue au vrai western !
Imaginez-vous une scolarité éternelle, un calvaire collégial où les mêmes délégués de classe, ces pantins patentés du pouvoir, squattent le tableau noir depuis la sixième jusqu'à la terminale, et au-delà, jusqu'à l'asphyxie collective.
En occident, nous serions soumis à, environ, un millier de messages publicitaires par jour. Soit plus de 360.000 par an. Ou quelques 30 millions en une vie. Ce qui fait beaucoup. Trop pour certains. C’est le cas du Brandalism. Mouvement au nom créé de la contraction entre brand et vandalism. S’inspirant du travail de Bansky, lui-même inspiré par l’écrivain Sean Tejaratchi, le mouvement détourne les messages publicitaires sous toutes ses formes. Une interpellation des consciences, un électrochoc communicationnel.
24 des plus grands street artistes du monde ont collaboré à ce mouvement, dans une opération commando répartie sur 8 pays. Ce qui rappelle un Tyler Durden et ses sbires détournant le cynisme des messages consuméristes. Le Brandalism devrait s’épanouir dans une société où la tendance punk et rebelle s’inscrit chaque jour un peu plus dans les comportements.
Après tout, alors que les communicants doivent abandonner petit à petit leurs anciens supports devenus inutiles et inefficaces sur la nouvelle génération, nous pourrions imaginer que les milliers de 4×3 (100.000 en Grande-Bretagne selon Brandalism) deviennent support d’art. Que deviendrez un monde où nous serions soumis chaque jour à 1.000 œuvres d’art ? Peut-être un monde où l’intelligence ne serait plus considérée comme l’étendard d’une élite méprisante. Et où les abrutis et autres incultes de la télé-réalité ne seraient plus érigés en représentants de la réalité populaire.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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