La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Depuis la nuit des temps l’homme est attiré par le sexe de la femme C’est un fait. Dès l’antiquité, peintres, philosophes, écrivains, théoriciens, ont représenté le sexe féminin comme « quelque chose » de dangereux. Tantôt adulés, tantôt rejetés, malmenés, utilisés, ou érigés au rang d’art, les corps féminins ont été source d’inspiration planétaire. Le corps de la femme, objet de désir universel, est à notre époque, plus encore, source de débats, d’opposition, d’incompréhension et peut-être bientôt de révolution. A l’ère du hashtag « Free The Nipples », « me too » ou du « Balance ton porc », en pleine ubérisation du sexe, des artistes féminines s’amusent à offenser les hypocrites et bousculer les interdits pour continuer à montrer sans honte les corps des femmes. Sans aucun doute un des « nouveaux arts » du XXe siècle, l’art du collage sur Instagram est une des disciplines qui permet l’ironie et l’humour à ces nouvelles féministes qui usent de stratagèmes pour exprimer leurs idées sans se mouiller. Giulia Marsico, bombe atomique « instagramesque » en a fait son fer de lance, montrer des femmes ultra-pornographiques, parfaites plastiquement en occultant les parties typiquement sexualisées par les hommes. Un sexe se transforme alors en escalier monumental, une paire de seins en fenêtres sur le monde, un cul devient l’entrée d’un musée etc. Une tentative de sexualisation par l’objet et pas par le sujet. Voilà le nouveau combat des féministes-artistes 2.0… Echapper à la censure ne se sera jamais révélé aussi périlleux artistiquement qu’aujourd’hui. La preuve on va se faire plaisir en partageant les femmes archi-culs de Giulia sans risquer de se faire dénoncer pour outrage à la pudeur. Mais de qui au fait ?
Co-fondatrice d’APAR.TV et productrice. Elle conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout
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