Le PSG a gagné. La France a brûlé.
Deux morts. 692 incendies. 192 blessés. Un coma artificiel. Et une justice qui, au matin, ouvre les portes et laisse partir les émeutiers. Parce qu’ils n’avaient « pas de casier ». Parce que la violence n’est plus un crime — c’est une tradition.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
Dans une annonce choc, Pornhub, l’un des leaders mondiaux du divertissement pour adultes, a déclaré qu’il mettrait fin à la diffusion de ses contenus pornographiques en France dans les prochaines 24 heures.
Roman Coppola a fondé le collectif de réalisateurs The Directors Bureau, maison qui représente des superstars comme Wes Anderson ou Sofia Coppola. APAR.TV est en lien depuis longtemps avec « le Bureau des réalisateurs » qui a toujours su nous aider à tracer les évolutions du cinéma indépendant tout en mettant au défi les jeunes photographes de prendre une caméra pour la première fois.
Représentant la sœur de Roman Copolla, Sofia (Lost in Translation) et l’ami et collaborateur de Roman, Wes Anderson, le Bureau des réalisateurs n’a eu de cesse de se renforcer ces dernières années, avec une réputation autour des publicités et des vidéoclips audacieux. De toute façon avec le nom de famille Coppola, la réalisation de films est dans le sang. Si vous avez passé une partie de votre jeunesse sur le tournage d’Apocalypse Now , tôt ou tard le cinéma vient à vous. Il est dans votre ADN.
Roman a en plus co-écrit des scénarios acclamés pour les films d’Anderson (The Darjeeling Limited et Moonrise Kingdom) et a réalisé quelques-uns de ses propres longs métrages. Mais ce qu’il aime plus que tout c’est de voir de plus en plus d’anciens jeunes réalisateurs du Bureau des réalisateurs qui font le saut dans le monde des longs métrages. Sa société est unique en son genre, en France personne ne peut rivaliser, à part peut-être la société Iconoclast.
Quand on lui demande comment est née cette société si spéciale, Roman explique que : « Fondamentalement, notre concept à l’origine était l’idée de réunir une fraternité de créatifs, sous le même toit, partageant des idées et des ressources. C’était en quelque sorte une notion romantique – comme le Paris des années 1920 ou l’époque Beat dans les années 50. Et même le nom, The Directors Bureau, avait une intrigue que j’aimais, avec le FBI ou quelque chose comme ça… Mais bien sûr, c’est aussi une entreprise – je ne veux pas la décrire comme un fantasme de rêveur. »
Lorsque que les nouvelles générations lui demande ce qu’il pense du numérique, il répond sans hésiter : « Je suis toujours optimiste quant aux avancées technologiques. J’embrasse tout ce que le numérique apporte. Je pars en vacances et j’apporte un Canon 7D, mon Mac, des câbles et cette minuscule lumière et en gros rien ne m’empêche de faire un film totalement professionnel. Ce potentiel est vraiment puissant. »
Concernant maintenant l’avenir du cinéma indépendant en général, voici ce que Roman répond : « Je suis toujours optimiste. Là où il y a des gens créatifs avec des caméras, il y aura toujours des choses intéressantes à faire. Heureusement, vous pouvez faire un film pour 800 000$ avec de la ruse et du travail. Il y a toujours des hauts et des bas, que vous soyez encouragé ou non, d’une manière ou d’une autre, vous le ferez. Vous pouvez filmer un film sur un iPhone si nécessaire. Il n’y a pas d’excuses. »
Aujourd’hui, après un an de confinement, il se trouve que les nouveaux collaborateurs de Roman Coppola sont ses enfants. Après ses projets avec Paul McCartney, les Strokes et Wes Anderson, le réalisateur s’est enfermé dans son domaine familial et à enseigné à ses enfants l’animation du style des Monty Python.
Il a donc offert des cours d’animation à ses trois enfants: Alessandro, qui a cinq ans, Marcello, sept ans et Pascal, neuf ans. «Je leur ai montré une vidéo YouTube où Terry Gilliam parle des animations qu’il a réalisées à l’époque des Monty Python», a déclaré Coppola. « Ils ont fait des découpes, puis nous avons ce petit support d’animation et une application image par image que nous utilisons. »
Il a aussi pensé à faire un troisième long métrage. «J’aimerais que mes enfants vivent les expériences que j’ai vécues en tant qu’enfant, en étant sur les plateaux de cinéma avec mon père», a-t-il déclaré.
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