La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Comme tout le monde en ce moment essaye vulgairement en Europe de concurrencer Netflix, le diffuseur ne se laisse pas faire et balance chaque jour des suites de contenus plus addictifs que la veille. Leur dernier coup ? Un documentaire explosif explorant la relation entre le sexe et la technologie.
On a eu la chance de découvrir la première saison et c’est extraordinairement produit par Rashida Jones (Ann Perkins dans Parks and Recreation), Jill Bauer et Ronna Gradus. Dans cette époque de médiocrité où tous pensent chambouler une industrie qui, ils l’oublient souvent, mérite tout de même un certain savoir-faire, de la pertinence, du goût, de l’intelligence et beaucoup d’intuition créative (ce que très peu de plateformes VOD possèdent à en croire les catalogues de tous les « concurrents » de Netflix) l’on peut avancer que cette nouvelle série nous a fait un bien fou. Parce qu’avoir à la fois un propos sans filtre et très pertinent, devient finalement de plus en plus rare.
Après « Abstract : The Art of Design » et le film documentaire« Hot Girls Wanted »(une plongée au cœur de l’industrie du porno amateur) Netflix a commandité six épisodes comme une extension du film originel, autour de ce sujet audacieux que peut-être le lien entre la pornographie et les relations virtuelles.
On se souvient aussi dernièrement du fantastique docu « Minimalism: a Documentary About the Important Things », où l’idée était de montrer aux nouvelles générations comment consommer moins pour vivre mieux. Joshua Fields Millburn et Ryan Nicodemus ont su mettre en lumière ici notre rapport à la consommation et à la possession de biens matériels. Comme a pu le confier Joshua, « j’ai appris qu’en simplifiant ma vie, j’avais le temps de m’occuper de ma santé, de mes amis, de mon argent, de mes passions, que je pouvais me concentrer sur moi-même d’une façon qui fait sens. » Faire sens, c’est bien de cela qu’il s’agit aujourd’hui. Et non plus tout tenter pour abreuver une génération de « binge watching » débile et aliénant pour accumuler des suites de clics sans intérêt.
Elle est une jeune journaliste prédictive qui a contribué à la naissance d’APAR.TV. Elle travaille actuellement à l’écriture d’un essai majeur autour de Steve Oklyn, l’auteur de LA SOCIÉTÉ DE L’ALGORY
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