La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Les contenus de marque « cinématographiques » destinés à l’industrie du luxe sont est un éternel recommencement. Une forme de publicité sans fin. Une nouvelle définition de l’enfer contemporain en somme. Même lorsque d’immenses cinéastes comme Martin Scorsese ou Daren Aronofsky sont derrière la caméra.
Ces films aux placements de produit déguisés n’ont en réalité pas vraiment de définition propre. Ce n’est pas du cinéma, c’est certain. Et ce n’est pas non plus de la publicité à proprement parler. Ce sont une suite de films hypothétiques. A l’image de l’industrie qu’ils mettent en lumière. Les images sont léchées, certes, mais n’ont aucun sens. Puisque tout est calibré pour ne déplaire à personne, à tel point que tout ces films finissent tous par devenir transparents.
En même temps, les annonceurs ne savent plus quoi faire pour paraitre pertinents aux yeux de la nouvelle génération. Les ventes s’écroulent, la croissance à deux chiffre est terminée. La pression commence à se faire sentir. Et comme le dit la sentence populaire, ça sent le début de la fin pour les contenus de marque. Fin de la fête, croissance en baisse, désintérêt total des Millenials pour les marques de luxe, forcement tous les annonceurs font « All in » pour essayer de sauver la face…une dernière fois ?
C’est probable parce qu’aujourd’hui la jeunesse a besoin de leadership et non de publicité. Le monde de la mode promeut des idées progressistes tout étant fondamentalement régressif. La génération des baby-boomers qui possède et exploite le monde de la mode est encore intérieurement jeune dans sa pensée mais ses perspectives d’ouverture sont, à leur image, ridées, décrépies, corrompues et condamnées. Cela commence à se savoir sur les 5 continents. Et nous tenions à vous en donner ici la preuve en images…
Prada d’abord, et son film « Past Forward » de David O. Russell. Qui a apparemment intéressé autant de monde qu’un mauvais clip fait entre copain le week-end dans une maison de campagne.
Il y a aussi le film « Brave » de Spike Lee pour Moncler. 7 minutes de clip au cœur de New York qui n’apporte rien à la mode et encore moins au cinéma.
https://www.youtube.com/watch?v=mIMdAuwBi6Q
« The Tale of Thomas Burberry » d’Asif Kapadia. Un conte de Noël pathétique sur l’histoire de Thomas Burberry, l’homme à l’origine du trench coat, qui ne fera rêver ni les grands ni les petits.
https://www.youtube.com/watch?v=6D5IZtDCS5c
Miu Miu ne fait tourner que des réalisatrices issues du cinéma d’auteur pour s’offrir un supplément d’âme soi disant intelligent. Dernier coup en date avec Crystal Moselle.
Et puis il y a eu Kenzo qui a commandité « The Realest Real » à Carrie Brownstein, censé se moquer de nos habitudes sur les réseaux sociaux. Encore plus tragique que les quatre films précédents…
https://www.youtube.com/watch?v=VbfSRa5BRhk
Mais le summum revient à H&M qui se paye un court-métrage réalisé par Wes Anderson avec Adrien Brody où ce dernier joue les chauffeurs de train au cœur d’une tempête de neige. Une manière élégante de vendre son âme au diable, sans avoir l’air d’y toucher.
Elle est une jeune journaliste prédictive qui a contribué à la naissance d’APAR.TV. Elle travaille actuellement à l’écriture d’un essai majeur autour de Steve Oklyn, l’auteur de LA SOCIÉTÉ DE L’ALGORY
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