Dans le petit monde feutré de la tech française, où les start-ups fleurissent sous l’aile des milliardaires bien-pensants, un scandale vient d’éclater. Et comme par hasard, il est accueilli par un silence de plomb.
Imaginez la scène : un salon feutré du restaurant Laperouse, ce bastion de l'opulence parisienne niché sur la rive gauche de la Seine, où les lustres en cristal diffusent une lumière tamisée sur des nappes amidonnées et des couverts en argent massif.
638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
12 millions de vues en un mois pour une pub qui sent le fake à plein nez, mais qui n’en est pas un. Poo-pourri (quel nom magnifique) offre le spot le plus drôle, le plus pince-sans-rire et le plus efficace depuis la pub Burlington. Les femmes sont toutes des princesses et, c’est bien connu, les princesses ne font pas caca. Une légende que les femmes veulent entretenir et que les hommes veulent continuer à croire. Poo-pourri est donc là pour satisfaire tout le monde. Voir une sexy madame de Rothschild dire « you would not believe the motherload I just dropped« , ça n’a pas de prix. Alors rien que pour cette phrase, merci Daniel et Jeffrey Harmon et Joel Ackerman.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
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