La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Etonnant de découvrir ce clip du groupe Point Point réalisé par Jodeb (Jonathan Desbien, réalisateur à suivre absolument) et de se dire que ce bijou est francophone. Plutôt court-métrage que clip, le titre Life in Grey est une allégorie ensanglantée sur la génération Y, ses utopies et ses dérives. Génération jouisseuse mais aussi désespérée que désinvolte qui n’a jamais vécue sans le Sida et les nouvelles technologies. Aussi appelée « digital natives », génération des jeux vidéos qui a grandie devant les films d’animations japonais. En quête de plaisir, on part à la rencontre d’un personnage féminin qui va mettre en scène une chorégraphie morbide avec une bande de jeunes filles. Pendant 7 minutes, succession de plans éthérés, on pense à American Beauty et Virgin Suicide, on sait que ça va mal finir mais on ne sait pas comment. La danse ponctue des images de saouleries adolescentes, de baignades au bord d’un lac et de désirs de liberté fabriqués. Très rapidement on sent la tension, et dans les flairs déboule une architecture parfaite composée de corps , puis Matrix débarque par magie, jusqu’à la mort par éventration. On pense du coup à Mishima, ce réalisateur japonais fou qui avait préparé son suicide millimétré pendant une année qui s’est fait « Seppuku » dont Marguerite Yourcenar dira « la mort de Mishima est l’une de ses œuvres et même la plus préparée de ses œuvres ». Le réalisateur à mis en scène une forme de critique de la génération Y dont on imagine qu’elle préfère le suicide imposé de ses congénères que sa propre mort.
Co-fondatrice d’APAR.TV et productrice. Elle conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout
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