Le 23 mai 2025, à 16h12, une onde de choc a traversé l’Europe. Donald Trump, président des États-Unis, a menacé d’imposer dès le 1er juin des droits de douane de 50 % sur les importations européennes, dénonçant des négociations commerciales avec l’Union européenne (UE) qu’il juge stériles.
Dans les années 1970 et 1980, une vague intellectuelle française, portée par des figures comme Bernard-Henri Lévy (BHL), André Glucksmann et Alain Finkielkraut, secoue l’Europe et traverse l’Atlantique.
En 2025, l’intelligence artificielle bouleverse la création publicitaire. D’ici 2030, cette révolution pourrait transformer les campagnes en expériences immersives et personnalisées, redéfinissant l’art de séduire. Plongée dans un futur où l’IA devient le moteur de la créativité publicitaire.
Pourquoi lui ? Parce que dans ce livre, Camus part d’une vie heureuse mais égoïste, qui s’écroule quand l’homme fait face à sa propre lâcheté. Jamais sa philosophie ne se ressent avec plus d’égotisme que dans ce monologue. Sa dernière œuvre littéraire fait écho à cette phrase de son livre posthume : « je me révolte donc nous sommes ». Et quand un homme comme Camus finit sa vie en pensant que le combat est le sens de la vie… qu’aurait-il pensé à notre époque ? Un livre qui condamne l’humanité sans distinction. Une sorte de pêché originel athée.
Où le lire ? Là où le narrateur parle : un bar d’Amsterdam. Mais n’importe quel bar fera l’affaire.
Le passage à retenir par cœur : « Les hommes ne sont convaincus de vos raisons, de votre sincérité et de la gravité de vos peines, que par votre mort. Tant que vous êtes en vie, votre cas est douteux, vous n’avez droit qu’à leur scepticisme ».
À qui l’offrir ? À votre voisin qui dit qu’il « aime bien Jean-François Copé, mais qu’il est un peu mou, alors que Marine, elle ne dit pas que des conneries. »