638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
Imaginez un instant : nous sommes en 2026, et Macron, lassé des critiques acerbes sur les réseaux sociaux, décide de franchir le Rubicon numérique. Inspiré non pas par les Lumières, mais par Pékin, il déploie un arsenal high-tech pour "protéger la démocratie républicaine".
En ce début décembre 2025, alors que l’hiver s’installe avec son cortège de froid et de repli, une nouvelle affaire secoue les fondations déjà fissurées de la magistrature française.
Pourquoi lui ? Parce que dans ce livre, Camus part d’une vie heureuse mais égoïste, qui s’écroule quand l’homme fait face à sa propre lâcheté. Jamais sa philosophie ne se ressent avec plus d’égotisme que dans ce monologue. Sa dernière œuvre littéraire fait écho à cette phrase de son livre posthume : « je me révolte donc nous sommes ». Et quand un homme comme Camus finit sa vie en pensant que le combat est le sens de la vie… qu’aurait-il pensé à notre époque ? Un livre qui condamne l’humanité sans distinction. Une sorte de pêché originel athée.
Où le lire ? Là où le narrateur parle : un bar d’Amsterdam. Mais n’importe quel bar fera l’affaire.
Le passage à retenir par cœur : « Les hommes ne sont convaincus de vos raisons, de votre sincérité et de la gravité de vos peines, que par votre mort. Tant que vous êtes en vie, votre cas est douteux, vous n’avez droit qu’à leur scepticisme ».
À qui l’offrir ? À votre voisin qui dit qu’il « aime bien Jean-François Copé, mais qu’il est un peu mou, alors que Marine, elle ne dit pas que des conneries. »
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