Emmanuel Macron n'a pas l'intention de lâcher le pouvoir. Il flirte déjà ouvertement avec une candidature en 2032, comme l'ont révélé ses récentes déclarations sibyllines lors d'un meeting des Jeunes avec Macron.
Dans l'hémicycle de la Knesset, une scène grotesque s'est déroulée le 13 octobre 2025 : Donald Trump, le président réélu, étreignant avec une familiarité malsaine Miriam Adelson, cette milliardaire israélo-américaine au visage figé dans une grimace de triomphe froid.
Près de 1,2 milliard d'euros d'argent public engloutis chaque année pour un cinéma français en surproduction : 300 films annuels dont la moitié fait flop avec moins de 20 000 entrées, et un système verrouillé par l'entre-soi élitiste. Un rapport IGF alerte !
Pourquoi lui ? Parce qu’Atiq Rahimi parle d’exil mais aussi de mots. Parce que les mots et l’écriture sont les incarnations de l’érotisme, des élans de l’âme d’autant plus indescriptibles qu’ils sont profonds. Parce que s’exiler, ce n’est pas tant partir que chercher à se rattacher. Chercher l’inébranlable. L’indéfectible. La ballade du calame rendrait croyant. Avec les lettres pour dieux.
Où le lire ? Devant une feuille blanche, quand on en vient à oublier que les mains sont les organes qui relient au divin.
Incipit. Il fait nuit. Et le verbe est toujours absent.
Le passage à retenir par cœur. J’ai entendu un écrivain, je ne sais exactement quand ni où, expliquer comment il s’acharnait, lors de l’écriture, à réduire une page en un paragraphe, un paragraphe en une phrase, une phrase en un mot… J’imagine son bonheur, à lui, devant une page blanche !
À qui l’offrir ? À tout ceux qui ne jurent que par un seul livre, qu’ils appellent saint, et qui paradoxalement prônent l’autodafé.
La ballade du calame, Atiq Rahimi, éd. L’Iconoclaste, 184 p., 18 €
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