Un rapport récent du Sénat recommande de ne pas rendre publics les pays et entités qui détiennent la dette de l'État français, en contradiction apparente avec les dispositions légales en vigueur. Les détenteurs de la dette de la France doivent rester secrets, dixit le Sénat.
Dans le grand cirque audiovisuel français, où les audiences sont reines et les flops des pantins sacrifiés sur l'autel du CSA, deux nouvelles venues sur la TNT ont débarqué en fanfare il y a quelques mois : T18, fleuron du groupe CMI, et Novo19, bébé du groupe Ouest-France.
Pour son baptême du feu à la mise en scène, Kristen Stewart a puisé dans le réservoir des traumas générationnels, histoire de noyer la concurrence sous une vague coppolienne.
Il est rare de trouver encore des productions audiovisuelles qui produisent des films purement artistiques, pour la beauté, et pas pour la gloire. C’est le cas de Kerosene, surprise visuelle sans clients ni placements produits, projet mixte à mi-chemin entre la photographie et le film. Produit par 80 Agency, société de production (à découvrir dans notre classement des 10 sociétés de production à suivre absolument) créée par Timothée Boullié et Alexandre Eraud, deux passionnés de moins de 30 ans qui ont produit en 2015 plus de 40 films à deux. Ces jeunes producteurs de talent n’ayant conservé de l’adolescence que le goût du risque au profit de projets qui auraient été « tués dans l’œuf » par bon nombre de mastodontes audiovisuels. Alex Eraud, co-fondateur de 80 Agency, également photographe a eu une idée simple. Mettre en image la mode telle qu’elle devrait être aujourd’hui en intégrant les codes actuels, un retour au rock loin de la pop gentillette servie à toutes les sauces. Il convie le réalisateur Julien Zenier au shooting (dont nous vous reparlerons très bientôt), et lui propose de prendre quelques images en vidéos. Le résultat, est un film de moins de deux minutes, incandescent, où le son de Gesaffelstein flirte dangereusement avec une mise en scène morcelée entre fleurs, fusil, et poses lascives d’une créature qui vient (littéralement) mettre le feu à cet univers hybride. A mi-chemin entre le film de mode et le thriller cinématographique, sorte de cluedo narratif, soumis à diverses interprétations, ce film sensitif réveille des pulsions hautement combustibles bien plus obsédantes que l’acte d’achat.
Retrouvez ci-dessous quelques photographies d’Alexandre Eraud extraites du shooting original.
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
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