À 47 ans, toujours coincé dans ses caprices d'ado, il traîne Brigitte dans sa déroute – un couple mythique qui vire au navet hollywoodien. 2026 ? L'année où le roi nu se prend les pieds dans son sceptre, et la France rit jaune.
Trump et Netanyahu paradent avec un plan de paix à 20 points pour Gaza, censé clore la guerre en libérant les otages et en reconstruisant le territoire. Mais derrière les sourires, c'est une capitulation déguisée qui annonce la chute de Bibi et un effondrement stratégique pour l'État hébreu.
Avec une atmosphère tendue, presque prophétique, l'expert militaire russe Andrei Martyanov, ancien officier de marine et analyste géopolitique acéré, s'est livré à une interview explosive le 9 octobre 2025 sur la chaîne Dialogue Works Français.
Femmes canonisées, les portraits au scanner de Katarina Jebb portent leurs sujets en sainteté, les visages sont doux, ils reposent et l’idée de reproduction en trois dimensions s’efface au profit d’un hyperréalisme des matières et des chairs, exhalant une quiétude et une féminité singulières.
Photographe de mode, Katerina Jebb est aussi une artiste plasticienne connue pour ses recherches plasticiennes, à commencer par le travail sur le textile, les matières et les couleurs qu’elle a développé avec Christian Lacroix en 2008 déjà, au Musée Réattu, puis s’articulant autour de son intérêt pour les reliques de l’histoire comme les lettres manuscrites de Marie-Antoinette ou le veste de Napoléon. « Deus ex machina » est sa première exposition monographique, sur sur sa « recherche obsessionnelle des traces de l’homme » qu’elle interroge avec magnificence avec son scanner.
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