Dans les locaux d’Europe 1, une situation troublante se dessine, mêlant danger potentiel pour des mineurs et protection inexplicable d’un homme au passé trouble et pervers.
À l’aube de ce 18 juin 2025, une nouvelle guerre silencieuse secoue les fondations du pouvoir mondial. L’Iran aurait orchestré un coup de maître cybernétique : le vol de 3 téraoctets de données ultra-sensibles dans les serveurs du Mossad.
Dans les couloirs feutrés des startups de Tel-Aviv, dans les laboratoires high-tech de Haïfa, et jusque dans les salles d’opération des hôpitaux de Jérusalem, un mot d’ordre silencieux mais implacable s’est répandu : partir.
Femmes canonisées, les portraits au scanner de Katarina Jebb portent leurs sujets en sainteté, les visages sont doux, ils reposent et l’idée de reproduction en trois dimensions s’efface au profit d’un hyperréalisme des matières et des chairs, exhalant une quiétude et une féminité singulières.
Photographe de mode, Katerina Jebb est aussi une artiste plasticienne connue pour ses recherches plasticiennes, à commencer par le travail sur le textile, les matières et les couleurs qu’elle a développé avec Christian Lacroix en 2008 déjà, au Musée Réattu, puis s’articulant autour de son intérêt pour les reliques de l’histoire comme les lettres manuscrites de Marie-Antoinette ou le veste de Napoléon. « Deus ex machina » est sa première exposition monographique, sur sur sa « recherche obsessionnelle des traces de l’homme » qu’elle interroge avec magnificence avec son scanner.
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