La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Les peintures à l’huile de John Kacere portent toujours des prénoms, liés à une année tels que « Lorette’75 » ou « Patricia’76 ». Toujours des prénoms américains qui sonnent comme dans les soap-opéras. C’était un collectionneur, pas de femmes, mais de petites culottes, certainement l’homme au monde qui possédait la plus grande collection de culottes, en toutes matières, mais toujours en petites tailles.
John Kacere définit son art comme « la recherche de la perfection dans ses plus infimes détails ». John Kacere est modeste. John Kacere aime les petites culottes. Pionnier de l’hyperréalisme, ou du photoréalism comme on dit aux US. Normal pour ce natif de l’Iowa, qui à commencé à peindre en 1920, à l’âge de 12 ans. Dans les années 50, il commence à expérimenter de nouvelles techniques pour reproduire la beauté des toiles de la renaissance. De manière obsessionnelle, il reproduit les drapés, les transparence et les lumières de certaines toiles de la renaissance italienne. Il excelle au début des années 70, libération sexuelle aidant peut-être.
La numérotation, et le classement par prénom de ses toiles, donne la sensation que c’est pour John Kacere une forme d’album photo, une façon de répertorier et d’immortaliser sa vraie oeuvre, sa collection. Toujours les mêmes cadrages, toujours les mêmes gros plans, toujours des dessous diaphanes et surtout, toujours le même plaisir à regarder. John Kacere est un pionnier au coup de pinceau joliment masculin, qui s’est éteint à l’âge de 79 ans, après 30 années d’ôde au satin, au coton, à l’acrylique des dessous des femmes. On remercie Sofia Coppola, pour son joli hommage dans « lost in translation », ce plan d’ouverture ou l’on découvre Scarlett Johansson de dos en petite culotte transparente rose. L’original, c’est « Jutta’ 1973 ». On vous laisse nous dire laquelle vous préférez.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
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