La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Virgil Abloh n’a aucune idée originale et passe donc son temps à copier tout le monde. Sa dernière collaboration avec IKEA en est encore la preuve. En essayant de créer une collection capsule de meubles et d’objets décoratifs destinée à la génération Y, le fondateur du label street Off-White va encore tout pomper au génie de Joseph Beuys (après avoir tenté de dépouiller l’artiste Joseph Kosuth), qu’il ne cite évidemment jamais voulant faire croire au monde qu’il est un concepteur hors du commun.
Il a tendance a oublier qu’il n’est qu’un outil d’entreprise pour laquelle il travaille. C’est juste un employé de plus qui a un patron. Son chef numéro un étant Bernard Arnault.
Nous pensons qu’au cœur même de l’expérience de Virgil Abloh il y a une forme de nihilisme. Cela vient directement de la superficialité psychologique des médias sociaux. La vie sociale 2.0 est inutilement dramatique. C’est théâtral et pourtant ça ne veut rien dire. Une basket est une basket. Un sweat à capuche est un sweat à capuche. Un t-shirt est un t-shirt. Virgil Abloh est un symptôme des médias sociaux pas un créateur de nouvelles dimensions sociales. « VIRGIL ABLOH » n’est pas un artiste il est une publicité.
En réponse à sa collaboration avec IKEA, STEVE OKLYN a souhaité démonter tout le processus faussement créatif de Virgil Abloh en une seule image. Avec l’aide de l’œuvre de Joseph Beuys (daté du 20/12/1983) qui a pour titre : « La jambe d’Orwell – Pantalon pour le 21ème siècle ».
Avec ses trous circulaires distincts sur le genou, le pantalon a d’abord été porté par l’artiste pour la représentation de ‘Good Morning, Mr. Orwell’, diffusé avec son ami artiste Nam June Paik (le 31/12/1983) au Centre Pompidou.
Réalisé deux jours auparavant, le dessin révélait que les pantalons étaient conçus spécifiquement pour cet événement, et donc liés aux dystopies littéraires de George Orwell.
Joseph Beuys disait lui-même a dit: « C’est la jambe d’Orwell, le pantalon du 21ème siècle. Tout le monde devrait se confectionner ce pantalon, pour lutter contre le matérialisme et la répression à l’échelle mondiale, surtout envers les jeunes… »
L’artiste ne considérait toutefois pas le pantalon uniquement comme un signe contre le matérialisme et l’oppression prévalant dans le monde, mais aussi comme un point de connexion avec l’anthroposophie de Rudolf Steiner, qui prétendait pouvoir voir dans le futur avec ses genoux…
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