La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Elle a vraiment pris une tarte la muse de Newton ! Mais c’est la seule petite critique que l’on peut faire sur ce film. Quoique, elle reste tout de même très élégante. Sylvia Gobbel, ex top-model australienne mise en scène par un jeune réalisateur français dans « The lady in the Manor », film angoissant et paranoïaque sur le passé, orchestré par Kristofj von Strass pour la direction artistique. Très fin et très prenant seraient les deux adjectifs pour qualifier le mieux ce film de « mode-horreur », commandé par l’excellent magazine Schön!. Ce qui reste le plus surprenant, c’est de constater que nous ne connaissions pas encore le réalisateur, Fred Ruiz. A la fois comédien, réalisateur et producteur (de son premier long métrage, O.V.N.I) le jeune homme a touché autant au film publicitaire, qu’au court-métrage, allant même jusqu’à réaliser des films très très courts sur téléphone portable pour le Mobile Film Festival. Ce qui est le plus étonnant, est qu’il n’a pas remporté le prix du meilleur film…
Co-fondatrice d’APAR.TV et productrice. Elle conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout
55 hommes, tous gardiens d’enfants, arrêtés pour pédocriminalité. La France, universellement surnommée "Pedoland", tremble sous le poids d’une vérité insoutenable : ceux qui devraient protéger nos enfants sont leurs pires bourreaux.
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