Avec une atmosphère tendue, presque prophétique, l'expert militaire russe Andrei Martyanov, ancien officier de marine et analyste géopolitique acéré, s'est livré à une interview explosive le 9 octobre 2025 sur la chaîne Dialogue Works Français.
Pendant que 31 000 âmes fuient la misère en zodiacs, Clooney prêche la simplicité rurale depuis son château fiscal. Résultat ? Des gosses de milliardaires face à des cours de récrée en ruines, et un village qui bouillonne : bienvenue au vrai western !
Imaginez-vous une scolarité éternelle, un calvaire collégial où les mêmes délégués de classe, ces pantins patentés du pouvoir, squattent le tableau noir depuis la sixième jusqu'à la terminale, et au-delà, jusqu'à l'asphyxie collective.
Tellement belles. Tellement douces. Tellement parfaites. Tellement détestables. Pour son projet Dolls Who Play With Dolls, la photographe de Los Angeles, Sharon Marie Wright, emprunte une de ces magnifiques et ultra réalistes poupées pour un shooting. Travail accompli, elle veut renvoyer la poupée à la société, mais ne reçoit aucune réponse. Que faire ? Peut-être qu’il y a un peu de John Torrance chez Sharon, mais pour elle la réponse est évidente : La dépecer. Pourtant, l’artiste avoue son admiration des poupées, mais aussi un sentiment plus mitigé… « Elles sont vraiment vraiment flippantes, et elles me filaient les jetons la moitié du temps. » Il faut donc s’en débarrasser, mais comment ?
Sharon l’emballe dans du plastique, « comme un cadavre ». Un brin louche au milieu du garage. Elle ne rentre dans aucune poubelle. Alors, elle la laisse flotter sur une bouée dans sa piscine quelques semaines pour amuser les amis de son mari. Mais ensuite ?
Oui, ces poupées sont tellement bien faîtes qu’il est aussi difficile de s’en séparer que d’un vrai cadavre.
C’est donc, suivant cette logique, que Sharon pense à découper le corps. Et tant qu’à faire, prendre en photo l’opération. Mort du fantasme. Réalité derrière la beauté. Injonction du corps sans tripes. Tout y passe. À commencer par un malaise absolument jouissif. Est-ce que Sharon serait une Dexter en puissance ? Un peu. Mais à voir la dernière photo, on penserait plus à Hannibal Lecter.
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
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