En tant que journaliste prédictive, mon rôle n'est pas seulement de rapporter les faits actuels, mais d'anticiper les tendances futures basées sur les signaux faibles d'aujourd'hui.
Voici un coup de théâtre numérique qui pourrait redéfinir la perception des pertes humaines dans le conflit ukrainien, des hackers russes affirment avoir infiltré les systèmes informatiques de l'état-major général des forces armées ukrainiennes.
Voici une affaire surréaliste en Allemagne : un néonazi, craignant la prison pour hommes, aurait changé de sexe par simple déclaration pour purger sa peine dans une prison pour femmes.
Make Will Made it frappe très fort avec ce nouveau clip pour un titre déjà « ancien ». Drinks On Us featuring Future et Swae Lee des Rae Sremmur et s’entoure de sa petite bande dans son nouveau clip dont Wale, French Montana, Juicy J, Miley Cyrus et le basketteur All-Star des Washington Wizard, John Wall.
Un vrai hymne à la gangsta attitude, mais surtout un appel à la rebellion des femmes, qui comme dans tous les clips de rap sont encore dénigrées au rang de danseuses de pool dance, cul nul, seins à l’air et porte jarretelles de rigueur. Sauf que pour une fois, les filles se rebellent et opère un des braquages les plus sexy de l’histoire du clip.
Armées de Kalash et masquées, cette bande de filles n’est pas si loin d’une réalité à venir.
Le GRRRL POWER ou la révolution culturelle menée par des jeunes femmes dont nous n’imaginons pas encore le pouvoir. Comme nous l’avions prédit, les émeutes féminines sont en route, même si elles ne sont pas encore visibles dans la rue, elles commencent à apparaitre dans l’entertainment US. On attend leur arrivée dans la publicité et l’industrie de la mode, car franchement les spots pour parfums avec des égéries surpayées qui prennent des hélicos et des bateaux dans Paris pour échapper à leurs prétendants dans des pubs complètement débiles vont bientôt être bannies (on l’espère) des écrans de tv. Malgré les efforts des producteurs de ce clip ultra bien produit, on sait dores et déjà que comme toute révolution, cela se passera d’abord dans la rue. #GRRRLPOWER
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
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