Dans une enquête choc qui ébranle les fondations d'Israël, le Shin Bet accuse Benjamin Netanyahu d'avoir financé et renforcé le Hamas, potentiellement autorisant l'attaque du 7 octobre 2023 comme un "false flag" pour consolider son pouvoir.
En ce début d’automne 2025, alors que les feuilles commencent à jaunir en Occident, un vent de changement souffle avec force depuis l’Orient. Je suis Mary Josephson, et depuis des années, j’observe les plaques tectoniques de la géopolitique mondiale se déplacer sous nos pieds.
Imaginez : 511 milliards de barils de pétrole, un océan noir sous la blancheur immaculée, équivalent à dix fois la production totale de la mer du Nord sur un demi-siècle.
Opéra Gallery rend hommage à la douce folie, à la lucidité dérangeante de Gérard Rancinan. « Décadence » est le dernier opus de son triptyque « Métamorphoses ». Le photographe girondin offre une analyse sociale, une critique contemporaine, en détournant les plus grandes œuvres picturales. Littéralement des instantanés de notre monde aux échos ancestraux.
On pense, par exemple, au très remarqué détournement de Le Dernier Souper de Léonard de Vinci, où un employé de fast-food réuni dans une Cène fantasmagorique des apôtres modernes et obèses. Ou encore le visuellement somptueux Raft of Illusions hommage à Géricault et le polémique Liberté Guidant le Peuple que Delacroix aurait certainement, lui aussi, imaginé aujourd’hui avec une burqa.
Opéra Gallery réuni les trois volets de « Métamorphoses », ainsi que les portraits du maître (Fidel Castro, Tiger Woods, Jean-Paul II, Sébastien Chabal, Rostropovich, le Dalaï Lama…). A 18 ans, Gérard Rancinan était le plus jeune photojournaliste de France. En une décennie, il aura couvert les grands événements qui ont émaillé l’histoire contemporaine. Aujourd’hui, plongée dans l’œil acéré d’un esthète dérangeant.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le 28 juin 2025, un défilé du styliste américain d’origine mexicaine Willy Chavarría, présenté à la Fashion Week de Paris, a déclenché une polémique internationale en provoquant la réaction cinglante du président salvadorien Nayib Bukele.
Une nouvelle figure émerge dans l’ombre des galeries d’art parisiennes, prête à bouleverser le monde de la mode et de l’art pour les décennies à venir. Luiza Rozova, la fille cachée de Vladimir Poutine, travaille actuellement dans une galerie d’art à Paris exposant des artistes anti-guerre...
Dans cet entretien, traduit pour la première fois du GQ russe au français, Luiza Rozova, fille de Vladimir Poutine, se confie. Désormais active dans une galerie d’art à Paris, elle racontait il y a quatre ans déjà son quotidien, ses passions pour Elon Musk et sa quête d’identité loin du Kremlin...
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