La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Pourquoi lui ? Simplement pour découvrir que George Nelson a été un immense designer américain. Tout comme Paul László, Charles Eames et Isamu Noguchi, il a conçu une panoplie d’objets hallucinants. Par exemple, le designer se demande si les articles de sport étaient vendus dans les musées, aurions-nous une autre perceptions d’eux ? C’est justement à l’une des nombreuses questions posées par George Nelson dans cet excellent livre récemment réédité, « How To See » (ou « Comment Voir » en français) que le designer répond.
Avec sa carrière longue de 50 ans, George Nelson a eu une série de flashs créatifs, des éclairs d’inspiration comme tombés du ciel et lors desquels « l’individu solitaire découvre qu’il est connecté à une réalité qu’il n’avait jamais imaginée. »
Nelson déclara un jour que, pour qu’un designer apporte une réponse créative aux besoins humains, « il doit d’abord procéder à une rupture consciente et radicale avec toutes les valeurs identifiées comme opposées à l’humain. » Les designers doivent également garder en tête les conséquences de leurs actions sur les individus et la société. Il déclara qu’en fait « le design dans son ensemble n’est ni plus ni moins qu’un procédé permettant de relier le tout au tout. » Il ajouta qu’au lieu de se spécialiser, les designers devaient s’employer à élargir leur champ de connaissances et de compréhension.
Nelson y réussit à merveille comme peu avant lui, et, avec l’aide de ses flashs bienvenus, il contribua à l’avènement d’un design moderne et empreint d’humanité.
Où le lire ? Sur un sofa Marshmallow (le fameux canapé guimauve) parce qu’il en est l’inventeur.
Le passage à retenir par cœur ? Le design, pour l’individu moyen, affirme Nelson, « c’est la décoration appliquée à un gâteau ou à une voiture, une fleur de massepain ou une fenêtre « d’opéra ». En conséquence, les magasins regorgent de kitsch ». Pour sortir de ces schémas, George Nelson affirme dans le livre, « il est nécessaire d’accepter la proposition que le design n’est pas de la décoration, mais une expression intégrale de ce qu’est une chose et de ce qu’elle fait. Les meilleurs dessins de l’homme sont des modèles de survie, tout simplement parce qu’ils traitent de la vie et de la mort plutôt que de considérations marketing. »
A qui l’offrir ? A vos ami(e)s qui pensent révolutionner le design en publiant trois photos sur Instagram de leur salon.
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
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