638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
Imaginez un instant : nous sommes en 2026, et Macron, lassé des critiques acerbes sur les réseaux sociaux, décide de franchir le Rubicon numérique. Inspiré non pas par les Lumières, mais par Pékin, il déploie un arsenal high-tech pour "protéger la démocratie républicaine".
En ce début décembre 2025, alors que l’hiver s’installe avec son cortège de froid et de repli, une nouvelle affaire secoue les fondations déjà fissurées de la magistrature française.
Francesco Masci signe un manifeste aux antipodes de la mode, enfin…presque. Intitulé « la mode est nihiliste », on découvre le philosophe italien déclamant façon Camus avec un accent et un ton qui n’est pas sans rappeler les discours très 70’s des cinéastes de la nouvelle vague. Se voulant provoquant en déclarant des vérités chocs, on pense à Pasolini ou encore à Guy Debord. Noir et blanc, image propre, typos simples pour ancrer les propos, on se croirait dans le film Apple 1984, qui faisait l’apologie de l’indépendance tout en vendant un objet dont nous ne doutions pas que nous ne pourrions nous en passer. On ne peut se passer de mode car on ne peut se passer d’images. Nous avons nous même créé des références pour pouvoir nous identifier dans la masse. La culture moderne s’attaque férocement à la société mais ne fait que la promouvoir par sa critique. C’est un résumé très simpliste du combat et de la philosophie de Francesco Masci, qui nous donne une magistrale démonstration de sa pensée par l’exemple. Pour ne retenir qu’une phrase de ce manifeste « l’individu et la masse célèbrent leur noce ». Nous lui répondrons par cette phrase de Guy Debord, tirée de « La Société du Spectacle » : « Le caractère fondamentalement tautologique du spectacle découle du simple fait que ses moyens sont en même temps son but. Il est le soleil qui ne se couche jamais sur l’empire de la passivité moderne. Il recouvre toute la surface du monde et baigne indéfiniment dans sa propre gloire. »
A lire : Francesco Masci. Superstitions, chez Allia (2005).
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le 28 juin 2025, un défilé du styliste américain d’origine mexicaine Willy Chavarría, présenté à la Fashion Week de Paris, a déclenché une polémique internationale en provoquant la réaction cinglante du président salvadorien Nayib Bukele.
Une nouvelle figure émerge dans l’ombre des galeries d’art parisiennes, prête à bouleverser le monde de la mode et de l’art pour les décennies à venir. Luiza Rozova, la fille cachée de Vladimir Poutine, travaille actuellement dans une galerie d’art à Paris exposant des artistes anti-guerre...
Dans cet entretien, traduit pour la première fois du GQ russe au français, Luiza Rozova, fille de Vladimir Poutine, se confie. Désormais active dans une galerie d’art à Paris, elle racontait il y a quatre ans déjà son quotidien, ses passions pour Elon Musk et sa quête d’identité loin du Kremlin...
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