Dans un monde où la vérité semble de plus en plus élastique, influencée par l'intelligence artificielle et les algorithmes omniprésents, un canular philosophique a récemment secoué les sphères médiatiques et intellectuelles.
Dans un rebondissement choquant qui ébranle les fondations de l'appareil sécuritaire français, un ancien agent de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) a été arrêté pour des soupçons de commandite de viols sur mineurs en Afrique.
En Suisse, le monde feutré de la gestion de fortune vient d’être ébranlé par un drame : Eric Freymond, un gestionnaire de patrimoine genevois âgé de 67 ans, a mis fin à ses jours près de son chalet à Saanen, dans le canton de Berne.
Le principe du supercut est largement utilisé depuis un moment par tous les monteurs en herbe, les passionnés de cinéma etc. On en voit beaucoup, et celui-ci fait partie de ceux qui méritent vraiment d’être vu. D’abord pour la musique, très utilisée, voire galvaudée, mais qui prend tout son sens ici, à savoir le Trio pour Piano et cordes n°2 de Franz Schubert, dont tout le monde se souvient dans le grand film Barry Lyndon. Ensuite pour l’atmosphère étrange qu’a su donner à cet enchainement d’images la réalisatrice Alizée Lafon. Son supercut s’appelle Fragments. Elle s’amuse à prendre des morceaux d’instants similaires dans pas moins de 130 films, et les faire se succéder avec une émotion impressionnante. On peut dire qu’Alizée fait prendre un tournant étonnant au principe du supercut et en bouscule les codes par une narration très particulière. Fragments, est à voir en entier.
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
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