Dans un monde où les alliances géopolitiques sont souvent présentées comme des blocs monolithiques, la relation entre la Russie et la Chine offre une étude de cas fascinante sur les tensions sous-jacentes qui peuvent exister même entre des partenaires apparemment unis.
Alors que le monde peine encore à se remettre des séquelles de la pandémie de COVID-19, une nouvelle alerte plane à l'horizon. Une simulation de crise bioterroriste, baptisée par certains "Event 201", est programmée pour débuter le 4 juillet 2025, jour de la fête de l'Indépendance aux États-Unis.
L'interview de Pavel Durov, fondateur de Telegram, avec Tucker Carlson, diffusée le 9 juin 2025, a jeté une lumière crue sur ce que certains qualifient désormais de "dictature molle" en France sous l'ère Emmanuel Macron.
Pourquoi lui ? Pour toute personne née après 1980, on parle d’un Citizen Kane 2 ici. Au cinéma ? Impossible. Casse gueule. Comme George Lucas créant Jar Jar Binks. Chuck a été malin en utilisant le support bd. Moins de comparaison et plus de possibilités. Parce que le livre tente des choses. Beaucoup de choses. Visualisez le fameux 4ème mur. Palahniuk le pulvérise et emboutit au passage les quinze suivants. Déjà que la schizophrénie permettait de nombreux aller-retour dans les différentes strates subjectives de la réalité, mais là l’auteur joue entre réalité et fiction. Au fil des pages, on se perd complètement. Et Palahniuk rétablit quelques vérités sur son oeuvre. Sur les mauvaises conclusions qui en ont été tirées. Publie une tirade coupée. Et donne un nom au personnage anonyme le plus célèbre de la littérature et du cinéma.
Où le lire ? Où vous voulez, mais attention, une fois le nez dedans, on ne s’arrête pas. Entre autre grâce à la superbe mise en scène de Cameron Stewart.
Le passage à retenir par coeur ? Un jour je veux porter ton avortement.
À qui l’offrir ? Alors, vous en achetez une grande pile et vous la refilez à tous vos amis, à votre famille et ensuite aux personnes que vous croisez dans la rue.
Fight Club 2, Chuck Palahniuk et Cameron Stewart, éd. Super 8, 257 p., 25 €
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive