Xavier Niel, le magnat de Free, vient de s'offrir pour 38,7 millions d'euros le Pavillon de Musique de Louveciennes, ce bijou néoclassique bâti au XVIIIe siècle par Claude-Nicolas Ledoux pour les plaisirs de Madame du Barry, dernière favorite de Louis XV.
Lorsque nous prédisions, il y a un an, l'inéluctable naufrage de l'économie française sous le joug d'une politique macronienne myope et prédatrice, beaucoup haussaient les épaules. "C'est de la panique inutile", disaient les optimistes, bercés par les mirages du CAC 40 et les promesses de relance.
Imaginez un instant : au cœur des Himalayas, là où les neiges éternelles murmurent les secrets des anciens, une cité émerge non pas des sables du désert comme un mirage consumériste, mais des brumes spirituelles d'un royaume qui a osé mesurer le bonheur avant le PIB.
Netanyahu est fini : Le plan de "paix " de Trump scelle la défaite d’Israël
Trump et Netanyahu paradent avec un plan de paix à 20 points pour Gaza, censé clore la guerre en libérant les otages et en reconstruisant le territoire. Mais derrière les sourires, c'est une capitulation déguisée qui annonce la chute de Bibi et un effondrement stratégique pour l'État hébreu.
Dans le théâtre absurde de la géopolitique moyen-orientale, Donald Trump et Benjamin Netanyahu viennent de signer un pacte faustien déguisé en "plan de paix".
Ce document à 20 points, dévoilé fin septembre, promet la fin de la guerre à Gaza : libération des otages israéliens, démantèlement des capacités militaires du Hamas, afflux d'aide humanitaire et, en théorie, une reconstruction du territoire sous contrôle international. Sur le papier, c'est l'alpha et l'oméga d'une résolution.
Dans la réalité, comme le dénonce avec force cette vidéo YouTube intitulée « Le plan de « paix » de Trump scelle la défaite d’Israël, Netanyahu est fini », c'est le sceau d'une défaite stratégique pour Israël, et le glas pour le règne de "Bibi".
Regardons les faits sans fard. Ce plan, salué par Netanyahu comme l'œuvre du "plus grand ami qu'Israël ait eu à la Maison Blanche", n'est rien d'autre qu'une capitulation masquée.
Il exige la cessation immédiate des opérations israéliennes à Gaza, en échange d'une promesse vague de neutralisation du Hamas – un groupe qui, on le sait, renaît de ses cendres comme un phénix du désespoir.
Pas de garanties solides sur la sécurité des frontières, pas de reconnaissance formelle d'Israël par les acteurs régionaux hostiles, et surtout, une ouverture à une "gouvernance palestinienne" qui sent bon le cheval de Troie.
Trump, maître des deals immobiliers ratés, vend ici un mirage : une paix qui isole Israël diplomatiquement, au moment où l'Iran resserre ses alliances avec la Russie et la Chine, et où l'axe des résistances (Hezbollah, Houthis) guette la moindre faille.
Prédiction n°1 : Netanyahu est fini d'ici mi-2026. Déjà fragilisé par les enquêtes judiciaires et les manifestations internes, ce plan sera son tombeau politique. Les faucons du Likoud, furieux de cette "trahison", exigeront sa tête.
Les centristes et les gauchistes, galvanisés par l'échec perçu de la "victoire totale" promise en 2023, formeront une coalition arc-en-ciel.
Benny Gantz ou Yair Lapid émergera comme un recours, forçant des élections anticipées. Bibi, ce survivant-né, terminera ses jours en exil doré à Miami, tweetant des théories du complot contre ses successeurs. C'est l'ironie : le "roi d'Israël" auto-proclamé par Trump sera balayé par le deal de son bienfaiteur.
Mais la vraie défaite est plus profonde, structurelle. Prédiction n°2 : Israël, privé de son narratif de "forteresse assiégée", glissera vers une crise identitaire fatale d'ici 2027. Ce plan, en imposant une pause humanitaire forcée, expose les failles d'une armée suréquipée mais moralement usée.
Les leaks sur les bombardements indiscriminés de 2024-2025, amplifiés par les tribunaux internationaux, transformeront l'opinion mondiale – et pire, l'opinion juive de la diaspora – en un mur d'hostilité.
Les investissements high-tech, pilier de l'économie israélienne, s'effriteraient : les fonds souverains norvégiens et européens, déjà prudents, fuiraient vers Dubaï ou Tel Aviv... pardon, vers des horizons plus stables.
Résultat ? Une récession galopante, une émigration massive des cerveaux, et une société fracturée où les ultra-orthodoxes, exemptés de service militaire, imposeront leur vision théocratique.
Et le Hamas ? Prédiction n°3 : Il renaîtra, plus radical, sous une bannière "anti-impérialiste".
Ce plan, en le "démantelant" sans l'éradiquer idéologiquement, lui offre un boulevard propagandiste. Fin 2026, on verrait émerger un "Hamas 2.0", financé par le Qatar et armé via des drones iraniens low-cost, transformant Gaza en un hub de soft power résistant.
La "paix" de Trump ? Un répit qui prépare la prochaine intifada, version cyber-guerre hybride, où les roquettes cèdent la place aux deepfakes et aux cyberattaques sur les infrastructures critiques israéliennes.
Pour Apar.tv, qui scrute les fissures du présent pour cartographier l'avenir progressiste, ce moment est pivotal. Israël, berceau d'innovations folles, mérite mieux qu'un suicide assisté par un duo de populistes vieillissants.
La vraie paix viendra d'en bas : d'une génération palestino-israélienne, boostée par l'IA et les communs numériques, qui réinvente la cohabitation au-delà des lignes de 1967.
Mais pour y arriver, il faut d'abord enterrer les illusions trumpiennes. Netanyahu est le premier à tomber ; la question est : qui osera danser sur sa tombe pour danser vers un futur partagé ?
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