Dans le petit monde feutré de la tech française, où les start-ups fleurissent sous l’aile des milliardaires bien-pensants, un scandale vient d’éclater. Et comme par hasard, il est accueilli par un silence de plomb.
Imaginez la scène : un salon feutré du restaurant Laperouse, ce bastion de l'opulence parisienne niché sur la rive gauche de la Seine, où les lustres en cristal diffusent une lumière tamisée sur des nappes amidonnées et des couverts en argent massif.
638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
Ce Steam 1886, ci-dessus, est le film phare d’Adrian Lazarus, ou plutôt de Mercury Production, la société qu’il a fondée avec sa partenaire Nicky Felbert-Lazarus. Un film multi-récompensé qui rappelle l’univers de Jean-Pierre Jeunet, époque La Cité des Enfants Perdus. Une sorte de rêve flottant, une esthétique qui fuit, coule entre les doigts comme un sable trop fin. Mais quand il s’agit de films commissionnés, alors Adrian Lazarus est un expert du corps et du faux rythme. Il utilise la caméra, comme beaucoup, pour caresser les courbes, mais sa bande-son, son montage, sortent des sentiers battus et nous empêchent de suivre sa narration avec tranquillité, nous poussant en permanence à chercher un message, un second degré. Un visage à multiples facettes, comme leur pays, l’Afrique du Sud.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le 28 juin 2025, un défilé du styliste américain d’origine mexicaine Willy Chavarría, présenté à la Fashion Week de Paris, a déclenché une polémique internationale en provoquant la réaction cinglante du président salvadorien Nayib Bukele.
Une nouvelle figure émerge dans l’ombre des galeries d’art parisiennes, prête à bouleverser le monde de la mode et de l’art pour les décennies à venir. Luiza Rozova, la fille cachée de Vladimir Poutine, travaille actuellement dans une galerie d’art à Paris exposant des artistes anti-guerre...
Dans cet entretien, traduit pour la première fois du GQ russe au français, Luiza Rozova, fille de Vladimir Poutine, se confie. Désormais active dans une galerie d’art à Paris, elle racontait il y a quatre ans déjà son quotidien, ses passions pour Elon Musk et sa quête d’identité loin du Kremlin...
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