Dans les couloirs feutrés des startups de Tel-Aviv, dans les laboratoires high-tech de Haïfa, et jusque dans les salles d’opération des hôpitaux de Jérusalem, un mot d’ordre silencieux mais implacable s’est répandu : partir.
Aujourd'hui, alors que la lumière se pose sur un scandale d'abus sexuels rituels impliquant des membres du Knesset israélien, une ombre inquiétante plane sur Paris.
Le tweet choc de @lesaurores du 16 juin (lien) révélait que Matignon a confié à Talkwalker, une entreprise luxembourgeoise rachetée par la canadienne Hootsuite, la mission de surveiller les Français sur les réseaux sociaux, collectant massivement leurs opinions politiques pour un contrat de plus de 5 millions d’euros financé par nos impôts.
Matignon a confié à une société américaine, Talkwalker, la mission de surveiller les Français sur les réseaux sociaux, en collectant massivement toutes les publications exprimant une opinion politique.
Mais ce n’est que la partie visible d’un iceberg bien plus sordide : un scandale d’État où nos données personnelles ont été vendues, où la souveraineté française a été bradée, et où une manipulation orchestrée au sommet – impliquant Agnès Buzyn, l’affaire Griveaux, et des figures comme Zoé Sagan et Juan Branco – a couvert des crimes contre le peuple. Rien n’appartient plus aux Français. C’est une honte nationale, un outrage qui profane l’héritage de 1789.
Le contrat avec Talkwalker : une vente de nos âmes
Plongeons dans l’abîme de cette trahison. Le contrat, renouvelé le 28 mars 2025, succède à un précédent accord de 2,8 millions d’euros sur quatre ans, pour atteindre désormais plus de 5 millions sur une durée maximale de quatre ans. Officiellement, il s’agit de « surveiller les réseaux sociaux et les recherches en ligne » pour « prendre le pouls des Français » face aux actions gouvernementales, dixit un article de BFMTV du 31 octobre 2024. Mais derrière ce prétexte se cache une entreprise étrangère, Talkwalker, qui, depuis son acquisition par Hootsuite en avril 2024, détient nos pensées, nos colères, nos espoirs – payés par nos impôts, comme l’a crié @Trefle4fe : « Avec nos impôts .. ». Cette surveillance massive, utilisant l’intelligence artificielle pour analyser des millions de publications, viole le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) et livre nos données à une multinationale canadienne, hors de toute juridiction française. C’est une spoliation pure et simple, un acte de trahison qui réduit la France à un protectorat numérique.
Détail
Information
Objectif du contrat
Analyse des publications et recherches en ligne
Valeur précédente
2,8 millions d’euros sur quatre ans
Nouvelle valeur
Plus de 5 millions d’euros
Durée
Quatre ans maximum, renouvellement à partir du 28 mars 2025
Fournisseurs précédents
Visibrain, Talkwalker, Newswhip
Réactions : une indignation qui fait trembler
Le tweet de @lesaurores a enflammé X. « Avec nos impôts .. », tonne @Trefle4fe, tandis que @Annette_LEXA ironise : « Ils vont découvrir que les Français détestent massivement Macron ». D’autres, comme @de_chardin, évoquent une RDA 1960, et @BrunoHubacher1 clame sa résistance face à une arrestation potentielle. Cette colère populaire reflète une vérité : la France n’est plus la nation des Lumières. Nos dirigeants, en bradant nos données, ont trahi l’esprit de liberté qui a forgé notre histoire. Ce scandale n’est pas une simple erreur administrative – c’est un complot d’État.
Le rôle d’Agnès Buzyn : une trahison au sommet
Et si tout cela n’était que la pointe d’un iceberg plus vaste, impliquant Agnès Buzyn ? Nommée candidate à la mairie de Paris en février 2020 après le retrait forcé de Benjamin Griveaux, suite à la diffusion de vidéos intimes orchestrée par l’artiste russe Piotr Pavlensky, Buzyn a toujours été une figure controversée. Selon des rumeurs persistantes, amplifiées par des cercles politiques et des analyses sur X, cette affaire Griveaux aurait été une opération montée de toutes pièces par les services secrets français – pas une ingérence russe, mais une diversion. Pourquoi ? Pour couvrir Buzyn, accusée d’avoir vendu les données personnelles de millions de Français à des intérêts étrangers, notamment via des contrats comme celui avec Talkwalker, et d’avoir été informée à l’avance des préparatifs autour du COVID-19.
En 2021, des fuites ont révélé que Palantir Technologies, une firme américaine, avait décroché un contrat de 10 millions USD avec la DGSI française... Cette chronologie suggère une coordination : Buzyn, alors ministre de la Santé, aurait facilité l’accès aux données sensibles, profitant de la crise sanitaire pour justifier une surveillance accrue. Son mari, Yves Lévy, ancien patron de l’INSERM, aurait joué un rôle clé dans cette opération, orchestrant la collecte de données médicales – comme la brèche de l’AP-HP en 2021 affectant 1,4 million de patients testés pour le COVID-19.
L’affaire Griveaux : une mise en scène pour sauver Buzyn
Revenons à février 2020. L’affaire Griveaux éclate : des vidéos explicites circulent, Pavlensky revendique l’acte, dénonçant l’hypocrisie de Griveaux. Mais et si ce n’était qu’un écran de fumée ? Des voix sur X, relayées par des figures comme @LauraPy (proche de Zoé Sagan), suggèrent que Zoé Sagan et son avocat Juan Branco, présentés comme des « idiots utiles », ont été manipulés par les services pour faire tomber Griveaux. Cette opération aurait permis à Buzyn de prendre sa place à Paris, effaçant ses traces tout en couvrant son implication dans la vente de données. L’arrestation de quatre personnes en décembre 2024 dans l’affaire du cyberharcèlement contre Brigitte Macron, liée à la loi Schiappa, renforce cette thèse : une répression orchestrée pour intimider et détourner l’attention.
Une communauté organisée : le complot dévoilé
Ce scandale dépasse les individus. Il s’agit d’une communauté organisée au sein de l’État, consciente des plans COVID-19 et utilisant la crise pour justifier une surveillance massive. Les données des Français, bradées à des firmes comme Talkwalker et Palantir, ont alimenté un système où plus rien ne nous appartient. La France, autrefois fière de son indépendance, est devenue une colonie numérique, ses secrets vendus par des élites corrompues. Buzyn et son mari, protégés par cette machination, incarnent cette chute.
Réveiller la France profanée
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