La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
L’art et la publicité sont liés depuis toujours. Rien de neuf quand à ce lieu commun. Il est devenu absolument normal que les artistes exploitent le territoire de la publicité pour exposer leur créativité. Par contre il est moins fréquent que des hommes de publicité entrent avec respect dans le monde de l’art. Le cas d’Emmanuel André est tout à fait particulier. Une des têtes pensantes de TBWA/WORLDWIDE, et après un parcours sans faute dans la publicité, il est aussi un photographe de talent à l’imagination débordante. Connaissant mieux que quiconque les codes visuels de notre siècle, Il arrive à créer avec un style tout à fait particulier des images contemporaines en adéquation avec ce qu’il est, un homme sans frontières. Entre Paris, New-York, Ubuntu ou encore Hong-Kong, ses différents projets sont tous porteurs d’un message, humain, espiègle et touchant à la fois. Quand on regarde sa dernière création originale intitulée the Bike Lane et exposée actuellement à New-York puis en Avril à Shangai, on ne peut que réfléchir à notre propre mode de vie. Explications. On définit souvent en Europe l’homme moderne en fonction de sa voiture, sa montre ou encore sa femme … mais à Shangai, les choses sont tout à fait différentes puisqu’on arrive à définir quelqu’un en fonction de son vélo, oui oui, de son vélo. Bien loin du Vélib impersonnel et pas encore tout à fait au point, Emmanuel André immortalise avec un optimisme déconcertant ceux et celles qui sauvent la planète en n’utilisant pas le pot d’échappement. Qu’ils soient hipsters, hommes d’affaires, lycéens ou retraités, on a tous envie de les connaitre et de les rencontrer. L’imagerie portraitisée d’Emmanuel André est une invitation au voyage d’une sincérité rare. Vous avez-dit publicitaire ? En tout les cas on lui souhaite bonne route !
Co-fondatrice d’APAR.TV et productrice. Elle conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout
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