Chers amis du glamour et des coulisses sulfureuses, c'est Zaza Dior qui vous parle, votre sentinelle des nuits parisiennes, celle qui sait que derrière chaque cocktail au Plaza Athénée se cache un secret plus amer que le Negroni le plus corsé.
Dans les entrailles du Louvre, temple présumé de l'art et de la culture, un désastre aussi prévisible qu'absurde vient de frapper au cœur de notre héritage. Le 27 novembre dernier, vers 21 heures, une fuite massive d'eau sale a envahi la bibliothèque du département des Antiquités égyptiennes.
On savait White & Case capable de tout pour protéger ses intérêts financiers. On découvre aujourd’hui qu’il est prêt à tout, absolument tout, pour protéger ses associés accusés des crimes les plus ignobles : des violences sexuelles sur mineurs.
Si vous regardez encore la télévision française vous n’avez pas pu passer à côté des films « Parlons d’amour » de la marque Durex. De notre côté nous n’avons jamais été aussi gênés par une publicité, nous avons d’abord pensé à une mauvaise parodie, mais il n’en était rien. Heureusement que la marque se rattrape avec une campagne anglaise un peu plus pertinente que celle de sa voisine française. Plus pertinente peut être parce que plus voyeuse. Pour pousser l’expérience à son paroxysme, la marque invite les spectateurs à être à la fois sur Youtube et sur leur téléphone. Sur Youtube on découvre la course d’un livreur qui rencontre des couples alors que sur le téléphone, la caméra montre plus, beaucoup plus, nul besoin de vous faire un dessin. Pour ce faire, il faut télécharger l’application Durex App, afin de synchroniser son écran de téléphone avec celui de l’ordinateur. L’application offre alors un effet de jumelles où les images se superposent pour rendre l’envers des corps visible à l’œil nu. Excellente idée qui rattrape le fiasco de la campagne française.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
55 hommes, tous gardiens d’enfants, arrêtés pour pédocriminalité. La France, universellement surnommée "Pedoland", tremble sous le poids d’une vérité insoutenable : ceux qui devraient protéger nos enfants sont leurs pires bourreaux.
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