La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
La solution du monde de la mode est de compter sur le passé grâce à la Nostalgie et au Népotisme au lieu d’affronter le présent pour créer un futur pertinent. La marque Dolce & Gabbana nous le prouve encore une fois en capitalisant ici sur l’image néandertalienne de Sophia Loren et d’Ennio Morricone. Après le lancement de sa première collection de «hidjabs» pour les musulmanes fortunées, la marque ne sait plus où aller et surtout comment le communiquer. Comme nous l’écrivions encore hier, « la vérité est que les marques de mode d’aujourd’hui sont organisées exactement comme toute autre institution financière mondiale. Avec un seul ordre du jour: les marges. Des milliards sont dépensés pour créer l’illusion que ce sédatif institutionnalisé ressemble à une industrie créative. Alors que le monde de la mode est un pollueur mondial géant absolument insoutenable. Le processus de déploiement de nouveaux produits sur une base continue est contraire à toute idée raisonnable de discussion. Le monde de la mode attaque la structure de l’identité d’un individu. Nous croyons que l’identité individuelle devrait avoir un espace infini pour expérimenter. Le complexe mode-media-industrie veut exactement que le contraire se produise. Son but est de programmer l’individu le plus tôt possible à croire que vivre dans un état d’esprit libre et infini est socialement indésirable. 1.000 personnes sont en commande de ce contrôle et seulement 100 personnes ont le pouvoir ultime, à savoir la masse financière.
L’objectif numéro un du monde de la mode est de réintroduire sans fin ce qu’ils possèdent déjà, au prix de l’étouffement de tout ce qui a déjà été épuisé de son authenticité. Autrement dit, l’attachement du « Mondelamode » à tout ce qui à le moindre intérêt culturel. Un attachement basé sur deux réalités. La première étant que les stars et les artistes du « Mondelamode » n’ont aucun intérêt personnel à créer une perturbation réellement transgressive. Ils ne peuvent être appelés stars et artistes seulement dans le sens le plus avili du terme. Les stars sont programmées, au sens premier du terme, et les artistes sont les outils les plus efficaces de la propagande. La seconde réalité est l’utilisation de la séduction comme non-message pour vendre ce qui avait déjà été vendu. Toutes les actions manufacturées et planifiées sont faîtes pour détériorer votre autonomie, endommager votre capacité à penser de façon indépendante et pour drainer vos finances. Tous les spectacles du « Mondelamode » sont des pensées réformistes préfabriquées. La nostalgie est l’un des aspects fondamentaux du contrôle mental de l’industrie en ce début de 21ème siècle. Le Monde De la mode est un algorithme mathématique. C’est une formule du passé pour bloquer votre ancrage dans le présent. Les créateurs, les top models, les blogueurs, les muses, les journalistes et les photographes sont relégués au rang de second rôle ou figurants. La plupart des gens assistant à ces spectacles sont de simples décors. Les propriétaires du monde de la mode et leurs exécutants de plus en plus nombreux jouent, comme dans tout bon soap opera, un rôle qui fut vital mais qui vieillit aujourd’hui. Le jeu saisonnier pour décider quel créateur dessine quelle collection devient une distraction qui s’affaiblit. Le premier rang a remplacé le podium comme lieu où l’action se déroule. La visibilité a remplacé la créativité. Le système actuel les a transformé en codeurs. Invisibles pour la plupart, sans intérêt pour la majorité. L’alchimie culturelle de Marcel Duchamp a été écrasée par la sorcellerie de Mickey Mouse. Depuis le lieu le plus joyeux du monde de Disney à la chanson de Pharrell William, Happy, nous sommes tous témoins du glissement drastique d’une culture cherchant à créer une connaissance plus profonde du monde, vers un monde programmé pour l’auto-satisfaction. Un monde qui ne propose plus qu’un seul choix : celui de décider ce en quoi nous croyons. Et ce choix s’exprime et se définit par un simple mot : Like. Aucune autre opinion ne sera tolérée. Nous ne voyons absolument pas ces liens comme une conspiration. Il est normal pour les puissants de s’aligner les uns sur les autres. Il s’agit juste d’événements qui annoncent ce que pressentait le penseur Guy Debord. Debord qui a décrit avec brio tout cela dans sa Société du spectacle. « Ce moment historique où les marchandises finissent de coloniser la vie sociale », c’est sa définition du spectacle. Une société où « tout ce qui a vécu n’est devenu que représentation. » Où Debord établit que nous faisons l’expérience « du glissement de l’être à l’avoir, et de l’avoir au paraître. »
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.