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Tokyo (AFP) – Ami Sano n’aurait jamais pensé un jour défiler sur un podium. Atteinte d’une maladie rare qui l’a laissée sans membres, elle fut pourtant une des vedettes cette semaine de la Tokyo Fashion week, signe d’une ouverture de la haute couture au handicap. Dans un show peu conformiste pour la marque « tenbo », le créateur Takafumi Tsuruta a choisi de mettre à l’honneur de jeunes femmes handicapées aux côtés des habitués de ce genre de rendez-vous, pour présenter ses collections excentriques, parfois agrémentées de perruques jaune vif. Une manière d’appuyer son propos: « Ces vêtements sont destinés à n’importe qui dans le monde. Je pense que c’est de notre responsabilité d’imaginer des habits tendance mais faciles à porter. » Sa collection automne-hiver, sur le thème du « rêve », pousse la commodité jusqu’à l’emploi de boutons magnétiques ou de pulls réversibles, avec l’envie de séduire un public plus large que celui ciblé d’ordinaire par les grands couturiers.
« Pour nous, c’est super d’avoir des vêtements simples d’utilisation », se réjouit Ami Sano. « Et je pense que les gens en général apprécieront ce type de créations, qui peuvent se marier de diverses manières. » Dans un final émouvant devant un parterre comble, la mannequin de 24 ans est apparue dans une robe de mariée blanche, rayonnante sur son fauteuil roulant. Déplorant « le mur » qui sépare encore au Japon les handicapés du reste de la société, elle juge que ce genre de démarche peut contribuer à lever les préjugés. « J’aimerais que les gens continuent à garder espoir », souffle-t-elle.
– ‘Ne pas abandonner ses rêves’ –
En ouverture, c’est Rina Akiyama, 27 ans et aveugle, qui avait fait sensation, arborant une robe trapèze à gros points inspirée du système Braille. Médaillée d’or de natation aux jeux Paralympiques de Londres en 2012, elle a salué un tel événement, « très rare » au Japon, qui montre le chemin pour les jeux Olympiques et Paralympiques de 2020 à Tokyo. « Je pense qu’un nombre considérable de personnes handicapées restent recluses chez elles », regrette cette sportive par ailleurs employée d’une firme pharmaceutique, rêvant d' »occasions plus nombreuses » de ce type. Souvent critiquées pour leur côté élitiste, les Semaines de la mode ont pris récemment des initiatives modestes mais significatives pour promouvoir une plus grande diversité sur les podiums. Le mois dernier, l’actrice américaine Jamie Brewer, qui souffre du syndrome de Down (trisomie 21), avait défilé à New York dans une robe noire créée par Carrie Hammer. Cette couturière a lancé l’an passé une campagne visant à mettre en valeur des mannequins de la « vraie vie », sélectionnés pour leurs réalisations professionnelles. C’est ainsi que la première femme en chaise roulante avait ouvert la voie dans la capitale de la mode américaine. En février, le Britannique Jack Eyers est aussi entré dans l’histoire, comme premier mannequin amputé à se produire à New York. Il portait des créations d’Antonio Urzi, styliste historique d’Armani, auteur d’une collection haute couture pour handicapés que le jeune homme a également présentée à Milan.
A Tokyo, le public a aussi pu découvrir cette semaine deux mannequins équipées de prothèses de jambes, dont Sayaka Murakami, 31 ans, qui se prépare à concourir aux épreuves d’athlétisme des jeux Paralympiques de Rio l’an prochain.
Elle espère que l’industrie de la mode poursuivra sur cette lancée. « A l’avenir, veut-elle croire, les handicapés ne seront plus forcés d’abandonner leurs rêves de mannequinat et auront la possibilité de travailler dur pour les réaliser. »
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