Une histoire aussi explosive qu’envoûtante circule dans les coulisses parisiennes, racontée sous le sceau de l’anonymat par des sources terrifiées par d’éventuelles représailles de l’Élysée.
Dans un monde où la technologie redéfinit les relations humaines, un phénomène troublant émerge : des individus tombent amoureux d’intelligences artificielles (IA).
« Nous parvenons à comprendre ce que la personne veut dire, pas exactement ses paroles », expliquait Alexander Huth, chercheur en neurosciences de l’Université du Texas à Austin, lors d’une conférence de presse jeudi dernier.
On est toutefois loin de la télépathie : pour « lire » dans les pensées d’un volontaire, ce dernier doit entraîner le logiciel de M. Huth, dont l’étude a été publiée lundi dans Nature Neurosciences.
PHOTO TIRÉE DU SITE DE L’UNIVERSITÉ DU TEXAS À AUSTIN
Alexander Huth
Jusqu’à maintenant, les appareils permettant de lire les pensées en laboratoire devaient avoir des électrodes fixées au crâne des cobayes. L’équipe texane a utilisé une mesure de flux sanguin à distance appelée « résonance magnétique fonctionnelle » ou fMRI. Ces données ont été conjuguées à un système de création de langage par intelligence artificielle similaire à ChatGPT.
« Nous avons vu que la pensée utilise des régions du cerveau beaucoup plus vastes que celles qui sont vouées à la parole et à l’ouïe, a dit M. Huth. Il y avait des zones qui servent à l’orientation, aux mathématiques, même au toucher. »
Le premier volet de l’expérience texane consistait à faire entendre au participant et au programme « décodeur » 16 heures d’épisodes d’une émission de la radio publique américaine, The Moth, où des gens racontent des histoires personnelles en détail. Ensuite, le participant réécoutait certaines émissions et le « décodeur » tentait de déduire, à partir des données fMRI, ce qui était dit.
« On a été surpris de l’exactitude, a déclaré M. Huth. Par exemple, si dans The Moth une personne disait ‟je n’avais même pas mon permis de conduire à cette époque”, le décodeur traduisait les données fMRI par ‟il n’avait pas encore appris à conduire”. C’est une assez bonne paraphrase. »
16 heures d’entraînement
Une deuxième itération de l’expérience consistait à reproduire une histoire imaginée par le participant. Et dans une troisième, le participant écoutait une vidéo sans paroles racontant une histoire, et le décodeur devait décrire cette histoire. Le taux de succès a été bon dans ces deux cas également.
Chacune des trois personnes qui ont participé à l’expérience devait entraîner le décodeur séparément. Il ne pouvait pas lire les pensées d’une personne qui ne l’avait pas entraîné au départ avec les 16 heures d’épisodes de The Moth.
Quelle est la prochaine étape ?
« Nous voulons affiner le décodeur, a répondu M. Huth. Mais il nous faut déjà penser aux implications éthiques de notre technologie. Éventuellement, les fMRI vont devenir plus sensibles et pourraient capter des données suffisamment précises à un ou deux mètres de distance, au lieu d’une dizaine de centimètres actuellement. Et il se pourrait que nous parvenions à avoir un décodeur universel qui ne dépendrait pas de la coopération d’une personne pour entraîner l’algorithme. Les applications inappropriées sont nombreuses. »
L’objectif des chercheurs serait plutôt de permettre aux aphasiques et aux paralytiques de communiquer avec le monde extérieur.
EN SAVOIR PLUS
75 millions USSomme investie par des fonds privés dans la firme américaine Synchron, qui travaille sur des électrodes permettant à un ordinateur de lire les pensées de patients paralysésSOURCE : FIERCE BIOTECH
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