La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Danny Sangra est d’abord graphiste. Ensuite, ses facettes sont infinies. Mais graphiste d’abord. Jusque dans ses clips, le graphiste crie toujours au tableau, à l’image, à l’équilibre des couleurs, à l’identité visuelle. En vagabondant dans sa filmographie, on redouterait presque une violente schizophrénie tant la diversité des styles est omniprésente. Mais, à chaque fois, et c’est là le talent de Danny Sangra, on est happé par la densité et la cohérence des propos.
Danny Sangra pousse son polymorphisme au point de changer ses fondations de film en film. Parfois, c’est la narration qui prévaut, parfois l’esthétique. Parfois les mots, parfois les images. En fait, Danny Sangra donne l’impression d’expérimenter continuellement. Sauf que l’expérience sous-entend l’échec. Mais là, nous sommes dans l’univers de la réussite.
Quand Danny Sangra revient au graphisme, il garde sa ligne de conduite : expérimenter, essayer, tenter, tâter, éprouver, risquer, chercher, examiner, fouiller…
Danny Sangra aime aussi se servir d’un appareil photo. Ses clichés présentent alors tous une forme de distorsion de la réalité. La photo, certainement trop fidèle à la réalité, doit être travestie et molestée pour rendre compte de la vérité de l’artiste. A moins, que pour Sangra, ce ne soit pas la pellicule qu’il faille violenter, mais le sujet.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.